Édouard Pignon
Édouard Pignon
Edouard Pignon
1905, Bully-les-Mines (Pas-de-Calais) - 1993, La Couture-Boussey (Eure)
Contemporaine de la Première Guerre mondiale, l’enfance d’Edouard Pignon se déroule dans une petite ville du Nord. A quatorze ans, après son certificat d’étude, il entre un très court temps à la mine puis, ne supportant pas la vie au fond, devient cimentier-plafonneur. Il commence très tôt à dessiner dans l’estaminet que tient sa mère en portraiturant ses proches. A son retour du service militaire en Syrie, il prend la résolution de devenir peintre et part pour Paris. Tout en travaillant comme ouvrier dans diverses usines, il suit les cours de peinture de l’Ecole du boulevard Montparnasse, ceux de l’Ecole Germain Pilon puis s’inscrit à l’Université ouvrière. Cet apprentissage se fait en parallèle d’un engagement politique qui lui permet de se rapprocher des milieux intellectuels, notamment à travers l’Association des écrivains et artistes révolutionnaires. Pendant plusieurs années, tout en gagnant sa vie comme retoucheur en photographie, lithographe ou metteur en pages, il participe à de nombreuses expositions de groupe et approfondit sa connaissance des grands maîtres du Louvre. En 1939, il montre sa première exposition personnelle, à Paris, à la Maison de la culture, rue d’Anjou, présentée par Marcel Gromaire. Membre de la "Jeune peinture", soutenu par la galerie de France, il peut en 1942 pleinement se consacrer à son œuvre qui, dès l’après-guerre, connaît un tournant décisif. Libéré de la grille cubiste, son travail est désormais porté par la volonté de cerner plus profondément le réel et de le faire vivre sous sa main. A contre-courant des tendances dominantes de son époque, il affirme dans les années cinquante son attachement à la figuration en même temps qu’il privilégie un mode de production sériel où la construction de l’espace, l’articulation des formes et la question de la couleur restent ses préoccupations essentielles. Passionné d’histoire, intéressé par l’analyse esthétique, il publie La Quête de la réalité en 1966 et Contre-courant en 1974, textes d’entretiens où il expose ses réflexions et ses choix artistiques. Montré régulièrement en France et à l’étranger, son travail se trouve consacré par une rétrospective au Grand Palais, à Paris, en 1985.
1905, Bully-les-Mines (Pas-de-Calais) - 1993, La Couture-Boussey (Eure)
Contemporaine de la Première Guerre mondiale, l’enfance d’Edouard Pignon se déroule dans une petite ville du Nord. A quatorze ans, après son certificat d’étude, il entre un très court temps à la mine puis, ne supportant pas la vie au fond, devient cimentier-plafonneur. Il commence très tôt à dessiner dans l’estaminet que tient sa mère en portraiturant ses proches. A son retour du service militaire en Syrie, il prend la résolution de devenir peintre et part pour Paris. Tout en travaillant comme ouvrier dans diverses usines, il suit les cours de peinture de l’Ecole du boulevard Montparnasse, ceux de l’Ecole Germain Pilon puis s’inscrit à l’Université ouvrière. Cet apprentissage se fait en parallèle d’un engagement politique qui lui permet de se rapprocher des milieux intellectuels, notamment à travers l’Association des écrivains et artistes révolutionnaires. Pendant plusieurs années, tout en gagnant sa vie comme retoucheur en photographie, lithographe ou metteur en pages, il participe à de nombreuses expositions de groupe et approfondit sa connaissance des grands maîtres du Louvre. En 1939, il montre sa première exposition personnelle, à Paris, à la Maison de la culture, rue d’Anjou, présentée par Marcel Gromaire. Membre de la "Jeune peinture", soutenu par la galerie de France, il peut en 1942 pleinement se consacrer à son œuvre qui, dès l’après-guerre, connaît un tournant décisif. Libéré de la grille cubiste, son travail est désormais porté par la volonté de cerner plus profondément le réel et de le faire vivre sous sa main. A contre-courant des tendances dominantes de son époque, il affirme dans les années cinquante son attachement à la figuration en même temps qu’il privilégie un mode de production sériel où la construction de l’espace, l’articulation des formes et la question de la couleur restent ses préoccupations essentielles. Passionné d’histoire, intéressé par l’analyse esthétique, il publie La Quête de la réalité en 1966 et Contre-courant en 1974, textes d’entretiens où il expose ses réflexions et ses choix artistiques. Montré régulièrement en France et à l’étranger, son travail se trouve consacré par une rétrospective au Grand Palais, à Paris, en 1985.
La vie d’Edouard Pignon
1905
Edouard Pignon naît le 12 février à Bully-les-Mines, Pas-de-Calais, où sa famille est implantée depuis près de trois siècles. Son père y est mineur de fond.
1912
Assiste à la catastrophe de la mine de la Clarence qui sera l’une des sources d’inspiration des deux versions (1936 et 1952) de L’Ouvrier mort.
1914-1918
L’estaminet que tient sa mère devient une magnifique école de vie. Son intérêt grandissant pour le dessin l’incite à rechercher tout ce qui ressemble à une image peinte ou gravée.
1919
Malgré l’interdiction de son père, fait un très bref passage à la mine. Détestant la privation de lumière, s’embauche dans le bâtiment.
1923
Entre à sa manière dans un univers intellectuel en s’inscrivant à des cours de dessin par correspondance, en lisant énormément. Entreprend son premier voyage à Paris pour visiter le Louvre et aller à la Comédie-Française.
1925-1926
Service militaire en Syrie. A son retour, peint ses premières huiles, notamment des portraits de son entourage familial. Persuadé qu’il ne réussira jamais à devenir peintre s’il reste à la mine, part s’installer à Paris avec Aline Lancial qu’il vient d’épouser.
1927-1930
Tout en travaillant, fréquente les cours de dessin des académies de Montparnasse et visite assidûment les musées. Premiers paysages des bords de Seine, natures mortes et autoportraits. Suit à l’université ouvrière des cours de littérature, de philosophie et d’économie politique.
1931-1935
Parallèlement à son apprentissage de la peinture, il adhère au parti communiste etb se rapproche ainsi des milieux intellectuels : il rencontre Malraux, Aragon et Fernand Léger. Premières participations à des salons avec des paysages d’usines et des Meetings. Grâce à un emploi de lithographe, peut peindre plusieurs jours par semaine.
1936-1937
Metteur en pages pour un hebdomadaire. Peint L’Hommage aux mineurs des Asturies et la première version de L’Ouvrier mort. Au Louvre, multiplie les études d’après Véronèse, Rembrandt, Tintoret, Ribera ou Delacroix. Peint La Veillée. Rencontre Picasso à qui le liera plus tard une solide amitié.
1938-1939
Construit ses compositions avec des pentagones tournants à l’exemple des Joueurs de billard ou des Hommes autour de la table. Mariage avec Aline Nechtschein. Marcel Gromaire prononce le discours inaugural pour sa première exposition personnelle à la Maison de la Culture à Paris. Se lie avec André Lhote, enthousiaste pour son travail dans la Nouvelle Revue Française.
1940-1944
A l’instigation de la galeriste Jeanne Bucher, s’installe à Boulogne dans la maison du sculpteur Jacques Lipchitz dont il fera un lieu de passage et d’hébergement de la Résistance. Premières ventes à des collectionneurs et première commande de l’Etat. Participe aux expositions de la "Jeune peinture", galerie Braun et galerie Friedland, avec Bazaine, Estève, Gischia, Lapicque, Le Moal, Manessier, Singier ou Tal Coat. Contrat avec Louis Carré puis, jusqu’en 1976, avec la galerie de France.
1945-1946
Après un séjour à Collioure, peint des Catalanes. Premiers séjours dans la ville d’Ostende où se met en place son mode de production sériel. Première exposition personnelle à la galerie de France.
1947-1949
Toiles de Mineurs et grandes huiles d’Ostende. Premières maquettes de costumes et de décors pour le théâtre national populaire de Jean Vilar. Figure dans la sélection française de la Biennale de Venise en 1948. Premier séjour dans le Midi où il découvre l’olivier qui devient l’un de ses sujets de recherches favoris. S’installe dans l’atelier de la rue du Moulin-Vert à Paris.
1950-1954
Mariage avec Hélène Parmelin. Intensifie le travail sur carnets et l’approche des thèmes avec l’aquarelle. Séries des Paysans à l'olivier et Paysages. Exposition à la Leicester gallery à Londres. Prix de peinture de la Biennale de São Paulo. Premiers séjours chez Picasso. Nouvelle version de L’Ouvrier mort. Production de poteries. Toiles des Hommes à l'enfant et Nus à l'olivier.
1955-1956
S’installe dans l’atelier de la rue des Plantes, à Paris, où il demeure jusqu’à la fin de sa vie. Première exposition aux Etats-Unis : aquarelles au Allen R. Hite Art Institute de l’University of Louisville. Poteries à la Maison de la Pensée Française à Paris. Electriciens, Vendanges et Paysages de Vallauris à la galerie de France. Exposition à la Perls gallery à New York. En signant la "Lettre des dix" au moment de l’entrée des troupes soviétiques à Budapest, marque ses distances avec le parti.
1957-1958
Sanary et Bandol lui offrent de nouveaux motifs. Premier bas-relief en céramique pour le pavillon de Paris à l’Exposition internationale de Bruxelles. Une salle du pavillon français de la Biennale de Venise lui est consacrée. Lavis d’encre sur le thème des moissons à Filacciano, près de Rome. S'installe au Moulin gris à Sanary. Nouvelle exposition à New York chez Perls.
1959-1961
Séries des Combats de coqs, des Battages et des Pousseurs de blé. Etudes de Vagues et de Plongeurs. Premières rétrospectives aux musées de Metz et de Luxembourg. Signe le "Manifeste des 121" pour l’indépendance de l’Algérie.
1962-1965
Début des entretiens avec Jean-Louis Ferrier et Georges Boudaille. Commence la série des Batailles. Exposition à la Lefebre gallery à New York. Acquiert à Six-Fours, Le Moulin de la Colline, où il passe désormais plusieurs mois de l’année. Expositions dans plusieurs musées : Le Havre, Lucerne, Genève. Première grande toile de Plongeurs. Expositions rétrospectives aux musées de Lille, Valenciennes, Namur et Charleroi.
1966-1969
Rétrospective de plus de deux cents œuvres au Musée national d'art moderne à Paris. Première parution de son livre, La Quête de la réalité. Peint les Têtes de guerrier et les Seigneurs de la guerre. Reprend le thème du Combat de coqs pour les céramiques sculptures monumentales dont il reçoit commande.
1970-1971
Rétrospective de dessins à la galerie de France, œuvres récentes à la galleria del Milione à Milan et au Musée Galliera à Paris, exposition au Musée Ingres à Montauban et dans les musées de Berlin, à la galerie du journal Seibu à Tokyo. Peintures et aquarelles sur le thème des Hommes à l’enfant. Inauguration de la céramique architecturale xxe siècle à Argenteuil.
1972-1974
Premières aquarelles et toiles de Nus. Pose de la céramique Les Plongeurs à Marseille. Rétrospective itinérante dans des musées en Hongrie, en Pologne, au Luxembourg et en Italie. Séjour à Rome pour la sortie d’un album d’hommage à Federico Fellini avec lequel il se lie d’amitié. Publie son second livre de propos, Contre-courant.
1975-1976
Rétrospective à la Galleria d’arte moderna à Bologne. Exposition des Nus rouges au Musée d’art moderne de la ville de Paris. Peintures et aquarelles au Musée d’art moderne de Céret. Reçoit le grand prix des arts de la ville de Paris.
1977-1978
Toiles et aquarelles des Bleus de la mer issues des carnets de plage. Inauguration du grand mur en lave émaillée, commande de la ville de Lille, L’Homme à l'enfant.
1979-1980
Peint des Nus aux cactus. Exposition au Palais ducal de Sabionetta près de Mantoue. Œuvres des collections nationales au Musée national d’art moderne à Paris. Après une très longue bataille oppositionnelle, quitte le parti communiste.
1981-1982
Rétrospective du fonds d’estampes de la Bibliothèque nationale au Musée de la Seita à Paris. Exposition au Musée de la Poste à l’occasion de l’émission du timbre Les Plongeurs. Commence la série des Hommes de la terre issue d’études faites dans les années 50. Inspirés de carnets anciens, reprend également le thème des Electriciens qu’il nomme Haute Tension. Exposition à la galerie La Gradiva à Rome. Premières expositions à la galerie Beaubourg à Paris.
1983-1984
Début de la série des Dames du soleil. Exposition des Nus rouges et des Bleus de la mer à la Maison de la Culture de Bourges. Œuvres du Rendez-vous d’Antibes au Musée Picasso à Antibes. Nommé commandeur des arts et lettres.
1985
Après Jean Dubuffet et Francis Bacon, Edouard Pignon est le troisième peintre à recevoir de son vivant la consécration des trois rotondes du Grand Palais à l’occasion d’une importante rétrospective.
1986-1987
Commence la série des Nus géants. Rétrospective d’aquarelles à la galerie Beaubourg accompagnée de la publication du texte d’Hélène Parmelin, Edouard Pignon, touches en zigzag pour un portrait. Hommes de la terre et Haute Tension au Musée de l’Hospice Saint-Roch à Issoudun. Premiers troubles de la vue.
1988-1989
Peint ses dernières œuvres dont le grand Nu en majesté.
1990
Exposition au Musée national d’art moderne à Paris pour son quatre-vingt-cinquième anniversaire. Il est fait commandeur de la Légion d’honneur.
1992
Rétrospective d’aquarelles à la galerie Le Monde de l’Art à Paris suivie d’une sélection d’aquarelles (1967-1986) à la galerie de Luxembourg à Luxembourg.
1993
Au terme de plusieurs années d’une cécité progressive qui l’a empêchée de reprendre les pinceaux, Pignon s’éteint le 14 mai à La Couture-Boussey dans l’Eure.
1905
Edouard Pignon naît le 12 février à Bully-les-Mines, Pas-de-Calais, où sa famille est implantée depuis près de trois siècles. Son père y est mineur de fond.
1912
Assiste à la catastrophe de la mine de la Clarence qui sera l’une des sources d’inspiration des deux versions (1936 et 1952) de L’Ouvrier mort.
1914-1918
L’estaminet que tient sa mère devient une magnifique école de vie. Son intérêt grandissant pour le dessin l’incite à rechercher tout ce qui ressemble à une image peinte ou gravée.
1919
Malgré l’interdiction de son père, fait un très bref passage à la mine. Détestant la privation de lumière, s’embauche dans le bâtiment.
1923
Entre à sa manière dans un univers intellectuel en s’inscrivant à des cours de dessin par correspondance, en lisant énormément. Entreprend son premier voyage à Paris pour visiter le Louvre et aller à la Comédie-Française.
1925-1926
Service militaire en Syrie. A son retour, peint ses premières huiles, notamment des portraits de son entourage familial. Persuadé qu’il ne réussira jamais à devenir peintre s’il reste à la mine, part s’installer à Paris avec Aline Lancial qu’il vient d’épouser.
1927-1930
Tout en travaillant, fréquente les cours de dessin des académies de Montparnasse et visite assidûment les musées. Premiers paysages des bords de Seine, natures mortes et autoportraits. Suit à l’université ouvrière des cours de littérature, de philosophie et d’économie politique.
1931-1935
Parallèlement à son apprentissage de la peinture, il adhère au parti communiste etb se rapproche ainsi des milieux intellectuels : il rencontre Malraux, Aragon et Fernand Léger. Premières participations à des salons avec des paysages d’usines et des Meetings. Grâce à un emploi de lithographe, peut peindre plusieurs jours par semaine.
1936-1937
Metteur en pages pour un hebdomadaire. Peint L’Hommage aux mineurs des Asturies et la première version de L’Ouvrier mort. Au Louvre, multiplie les études d’après Véronèse, Rembrandt, Tintoret, Ribera ou Delacroix. Peint La Veillée. Rencontre Picasso à qui le liera plus tard une solide amitié.
1938-1939
Construit ses compositions avec des pentagones tournants à l’exemple des Joueurs de billard ou des Hommes autour de la table. Mariage avec Aline Nechtschein. Marcel Gromaire prononce le discours inaugural pour sa première exposition personnelle à la Maison de la Culture à Paris. Se lie avec André Lhote, enthousiaste pour son travail dans la Nouvelle Revue Française.
1940-1944
A l’instigation de la galeriste Jeanne Bucher, s’installe à Boulogne dans la maison du sculpteur Jacques Lipchitz dont il fera un lieu de passage et d’hébergement de la Résistance. Premières ventes à des collectionneurs et première commande de l’Etat. Participe aux expositions de la "Jeune peinture", galerie Braun et galerie Friedland, avec Bazaine, Estève, Gischia, Lapicque, Le Moal, Manessier, Singier ou Tal Coat. Contrat avec Louis Carré puis, jusqu’en 1976, avec la galerie de France.
1945-1946
Après un séjour à Collioure, peint des Catalanes. Premiers séjours dans la ville d’Ostende où se met en place son mode de production sériel. Première exposition personnelle à la galerie de France.
1947-1949
Toiles de Mineurs et grandes huiles d’Ostende. Premières maquettes de costumes et de décors pour le théâtre national populaire de Jean Vilar. Figure dans la sélection française de la Biennale de Venise en 1948. Premier séjour dans le Midi où il découvre l’olivier qui devient l’un de ses sujets de recherches favoris. S’installe dans l’atelier de la rue du Moulin-Vert à Paris.
1950-1954
Mariage avec Hélène Parmelin. Intensifie le travail sur carnets et l’approche des thèmes avec l’aquarelle. Séries des Paysans à l'olivier et Paysages. Exposition à la Leicester gallery à Londres. Prix de peinture de la Biennale de São Paulo. Premiers séjours chez Picasso. Nouvelle version de L’Ouvrier mort. Production de poteries. Toiles des Hommes à l'enfant et Nus à l'olivier.
1955-1956
S’installe dans l’atelier de la rue des Plantes, à Paris, où il demeure jusqu’à la fin de sa vie. Première exposition aux Etats-Unis : aquarelles au Allen R. Hite Art Institute de l’University of Louisville. Poteries à la Maison de la Pensée Française à Paris. Electriciens, Vendanges et Paysages de Vallauris à la galerie de France. Exposition à la Perls gallery à New York. En signant la "Lettre des dix" au moment de l’entrée des troupes soviétiques à Budapest, marque ses distances avec le parti.
1957-1958
Sanary et Bandol lui offrent de nouveaux motifs. Premier bas-relief en céramique pour le pavillon de Paris à l’Exposition internationale de Bruxelles. Une salle du pavillon français de la Biennale de Venise lui est consacrée. Lavis d’encre sur le thème des moissons à Filacciano, près de Rome. S'installe au Moulin gris à Sanary. Nouvelle exposition à New York chez Perls.
1959-1961
Séries des Combats de coqs, des Battages et des Pousseurs de blé. Etudes de Vagues et de Plongeurs. Premières rétrospectives aux musées de Metz et de Luxembourg. Signe le "Manifeste des 121" pour l’indépendance de l’Algérie.
1962-1965
Début des entretiens avec Jean-Louis Ferrier et Georges Boudaille. Commence la série des Batailles. Exposition à la Lefebre gallery à New York. Acquiert à Six-Fours, Le Moulin de la Colline, où il passe désormais plusieurs mois de l’année. Expositions dans plusieurs musées : Le Havre, Lucerne, Genève. Première grande toile de Plongeurs. Expositions rétrospectives aux musées de Lille, Valenciennes, Namur et Charleroi.
1966-1969
Rétrospective de plus de deux cents œuvres au Musée national d'art moderne à Paris. Première parution de son livre, La Quête de la réalité. Peint les Têtes de guerrier et les Seigneurs de la guerre. Reprend le thème du Combat de coqs pour les céramiques sculptures monumentales dont il reçoit commande.
1970-1971
Rétrospective de dessins à la galerie de France, œuvres récentes à la galleria del Milione à Milan et au Musée Galliera à Paris, exposition au Musée Ingres à Montauban et dans les musées de Berlin, à la galerie du journal Seibu à Tokyo. Peintures et aquarelles sur le thème des Hommes à l’enfant. Inauguration de la céramique architecturale xxe siècle à Argenteuil.
1972-1974
Premières aquarelles et toiles de Nus. Pose de la céramique Les Plongeurs à Marseille. Rétrospective itinérante dans des musées en Hongrie, en Pologne, au Luxembourg et en Italie. Séjour à Rome pour la sortie d’un album d’hommage à Federico Fellini avec lequel il se lie d’amitié. Publie son second livre de propos, Contre-courant.
1975-1976
Rétrospective à la Galleria d’arte moderna à Bologne. Exposition des Nus rouges au Musée d’art moderne de la ville de Paris. Peintures et aquarelles au Musée d’art moderne de Céret. Reçoit le grand prix des arts de la ville de Paris.
1977-1978
Toiles et aquarelles des Bleus de la mer issues des carnets de plage. Inauguration du grand mur en lave émaillée, commande de la ville de Lille, L’Homme à l'enfant.
1979-1980
Peint des Nus aux cactus. Exposition au Palais ducal de Sabionetta près de Mantoue. Œuvres des collections nationales au Musée national d’art moderne à Paris. Après une très longue bataille oppositionnelle, quitte le parti communiste.
1981-1982
Rétrospective du fonds d’estampes de la Bibliothèque nationale au Musée de la Seita à Paris. Exposition au Musée de la Poste à l’occasion de l’émission du timbre Les Plongeurs. Commence la série des Hommes de la terre issue d’études faites dans les années 50. Inspirés de carnets anciens, reprend également le thème des Electriciens qu’il nomme Haute Tension. Exposition à la galerie La Gradiva à Rome. Premières expositions à la galerie Beaubourg à Paris.
1983-1984
Début de la série des Dames du soleil. Exposition des Nus rouges et des Bleus de la mer à la Maison de la Culture de Bourges. Œuvres du Rendez-vous d’Antibes au Musée Picasso à Antibes. Nommé commandeur des arts et lettres.
1985
Après Jean Dubuffet et Francis Bacon, Edouard Pignon est le troisième peintre à recevoir de son vivant la consécration des trois rotondes du Grand Palais à l’occasion d’une importante rétrospective.
1986-1987
Commence la série des Nus géants. Rétrospective d’aquarelles à la galerie Beaubourg accompagnée de la publication du texte d’Hélène Parmelin, Edouard Pignon, touches en zigzag pour un portrait. Hommes de la terre et Haute Tension au Musée de l’Hospice Saint-Roch à Issoudun. Premiers troubles de la vue.
1988-1989
Peint ses dernières œuvres dont le grand Nu en majesté.
1990
Exposition au Musée national d’art moderne à Paris pour son quatre-vingt-cinquième anniversaire. Il est fait commandeur de la Légion d’honneur.
1992
Rétrospective d’aquarelles à la galerie Le Monde de l’Art à Paris suivie d’une sélection d’aquarelles (1967-1986) à la galerie de Luxembourg à Luxembourg.
1993
Au terme de plusieurs années d’une cécité progressive qui l’a empêchée de reprendre les pinceaux, Pignon s’éteint le 14 mai à La Couture-Boussey dans l’Eure.
Expositions monographiques à la galerie
Édouard Pignon, Luxembourg Art Moderne
18 septembre - 06 novembre 2010
Expositions de groupe à la galerie
Guerre(s), Paris
18 décembre 2019 - 01 février 2020
Pierre Buraglio / Edouard Pignon, Paris
05 septembre - 18 octobre 2014
Oeuvres sur papier, Luxembourg Art Moderne
08 mars - 23 juin 2012
50: Les années fertiles, Luxembourg
30 juin - 31 août 2011
Principales expositions personnelles
2014
Pierre Buraglio/Edouard Pignon, Paris, Galerie Bernard Ceysson, 5 septembre – 18 octobre 2014.
2013
Edouard Pignon, Femmes en Méditerranée : Catalanes à Collioure, étés 1945-1946, Collioure, Musée d’Art moderne, 2013
2007
Riom, Musée Mandet.
2006
Roubaix, La Piscine Musée d’art et d’industrie André-Diligent.
Saint-Rémy-de-Provence, Centre d’art Présence Van Gogh.
2005
Issoudun, Musée de l'Hospice Saint-Roch.
Céret, Musée d’art moderne.
2004
Béthune, Espace Saint-Pry - Desvres, musée de la céramique.
1997/98
Lille, Palais des Beaux-Arts.
Aix-en-Provence, Galerie d’Art du Conseil Général des Bouches-du-Rhône.
Issoudun, Musée de l'Hospice Saint-Roch.
Paris, Assemblée nationale.
Deruta, Museo Regionale della Ceramica, Deruta.
1993
Airaines, Prieuré.
1992
Vichy, Centre culturel Valéry Larbaud, XVe festival d’art contemporain de Vichy.
1991
Alençon, Musée des beaux-arts et de la dentelle.
1990
Paris, Musée national d’art moderne, Centre Georges Pompidou
1988
Paris, Musée national d’art moderne, Centre Georges Pompidou
1987
Issoudun, Musée de l’Hospice Saint-Roch.
Bédarieux, Musée.
Auchel, Ciné-théâtre / Lens, Le Colisée / Armentières, Salle Carnot.
1986
Dieppe, Château-musée.
1985
Paris, Galeries nationales du Grand Palais.
Paris, Théâtre du Rond-Point.
1984
Antibes, Musée Picasso.
1983
Villeurbanne, Hôtel de ville.
Villejuif, Théâtre Romain Rolland.
Bourges, Maison de la culture.
1981
Paris, Musée-galerie de la Seita.
Luxembourg, Galerie d'art municipale d'Esch-sur-Alzette.
Paris, Musée de la Poste.
1980
Brest, Palais des arts et de la culture.
Paris, Musée national d'art moderne, Centre Georges Pompidou.
Roissy, Comité d'établissement Air France.
1979
Sabbioneta, Palais ducal.
1978
Corbeil-Essonnes, Centre culturel Pablo Neruda.
Bobigny, Hall d’honneur de l’Hôtel de ville.
Argenteuil, Salle des fêtes Jean Vilar.
Bayonne, 19e entretiens de Bayonne, Salons de l’Hôtel de Ville.
Béziers, Musée des beaux-arts.
Aubagne, Centre culturel communal.
Evreux, Musée-Palais épiscopal.
Aulnay, Gymnase du Moulin neuf.
1977
Ris-Orangis, salle Robert Desnos.
Marcq-en-Baroeul, Fondation Anne et Albert Prouvost.
Sainte-Geneviève-des-Bois, Salle Gérard Philipe.
Saint-Etienne-du-Rouvray, Salle des fêtes de l’Hôtel de ville.
Petit-Quevilly, Centre culturel municipal, Théâtre Maxime Gorki.
Nevers, Maison de la culture.
1976
Paris, Musée d'art moderne de la ville.
Nanterre, Palais des sports.
Arras, Centre culturel Noroit.
Céret, Musée municipal d'art moderne.
1975
Nanterre, Hôtel de ville.
Valreas, Château de Simiane, Salon de l'enclave.
1974
Varsovie, Palais Zacheta.
Douai, Hôtel de ville.
Calais, Musée des beaux-arts et de la dentelle.
Luxembourg, Musée d’Histoire et d’Art.
Saint-Pol, Musée.
Saint-Maximin, Hôtel de ville.
1973/74
Exposition de cinquante œuvres monumentales de 1936 à 1973 en Roumanie : Bucarest, salle Dalles ; Galatzi, Musée d'Art ; Oradea, Musée d'Art / Hongrie : Budapest, salle du Palais des expositions Mücsarnok / Pologne : Katowice, Musée national.
Le Creusot, Maison des arts et loisirs.
Denain, IIe Salon d'art contemporain des Etablissements Usinor.
Paris, Mercœur, Hauts-de-Belleville, Sceaux, Poterne-des-Peupliers,,Orgemont, Chaville, Point-du-Jour, Maisons de la culture.
1972
Bruxelles, Théâtre du Parvis.
Angers, Théâtre.
1971
Mont-Saint-Aignan, Hall d’accueil de l’Institut national supérieur de chimie industrielle de Rouen.
1970
Paris, Musée Galliera.
Lyon, Théâtre du VIIIe.
Vénissieux, Centre culturel-Maison du peuple.
Sochaux, M.A.L.S.
Trappes, Groupe scolaire Henri-Wallon.
Berlin, Kunstamt, Berlin-Tempelhof.
Montauban, Musée Ingres.
1969
La Seyne-sur-Mer, salle des fêtes de l’Hôtel de ville.
Saint Etienne, Maison de la culture et des loisirs.
Cluny, abbaye, salle Saint Hugues.
Saint-Etienne-du-Rouvray, Office culturel municipal.
Esch/Alzette, Galerie municipale.
Châteauvallon, Centre de rencontres.
1966/67
Amiens, Reims, Thonon-les-Bains, Rennes, Lorient, exposition itinérante dans différentes maisons de la culture.
Paris, Musée national d'art moderne.
1965
Valenciennes, Musée des beaux-arts.
Lille, Palais des beaux-arts, exposition rétrospective : peintures, aquarelles, dessins.
Namur, Maison de la culture.
Charleroi, Palais des beaux-arts.
1964
Caen, Maison de la culture, dessins, gouaches.
Lucerne, Kunstmuseum.
Genève, Musée d'art et d'histoire.
1963
Le Havre, Musée-Maison de la culture.
Lausanne, Guilde du disque.
1961
Nantes, Musée des beaux-arts (avec Gaston Chaissac).
1960
Metz, Musées de Metz.
Luxembourg, Musée de l'Etat.
1954
Louisville, University of Louisville, Allen R. Hite Art Institute.
Paris, Maison de la pensée française.
1939
Paris, Maison de la culture.
Galeries
2006
Lille, Galerie Dorval.
Paris, Galerie Foirien-Néouze.
Lille, Galerie Dorval.
Le Touquet, Galerie Emeraude.
2005
Céret, Galerie Odile Oms.
2004
Paris, Galerie Guislain Etats d’Art.
1997/98
Lille, Galerie R. Mischkind.
Lille, Galerie Régis Dorval.
Lille, Galerie Jacqueline Storme.
1993
Le Touquet, Galerie Régis Dorval.
1992
Paris, Galerie Le Monde de l’Art.
Luxembourg, Galerie de Luxembourg II
1991
Le Touquet, Galerie Régis Dorval.
1989
Le Touquet, Galerie Régis Dorval.
1988
Bruxelles, Galerie Pascal Polar.
Rome, Casa d’arte La Gradiva.
1987
Paris, Galerie Beaubourg.
Luxembourg, Galerie de Luxembourg.
Lille, Galerie Régis Dorval.
1986
Bordeaux, Galerie Condillac.
Milan, Galleria d’arte "Il Fante di Spade".
Clermont-Ferrand, Galerie Gastaud.
Marseille, Galerie Jouvène.
1985
Paris, Galerie Beaubourg.
Paris, Galerie Patrice Trigano.
Paris, Galerie Beaubourg.
Lille, Galerie Régis Dorval.
Rome, Casa d’Arte La Gradiva.
1984
Rome, Casa d’Arte La Gradiva.
1982
Rome, Casa d’Arte La Gradiva del Centro La Barcaccia.
Paris, Galerie Beaubourg.
Arras, Galerie Régis Dorval.
Montecatini Terme, Galleria La Barcaccia.
Bologne, Galleria Maggiore.
Rome, Galleria La Gradiva.
1981
Genève, Galerie des Granges.
Udine, Galleria del Girasole.
Cerrina Monferrato, Galleria Adriano Villata.
1980
Le Touquet, Galerie du Verger.
1979
Bruges, Interior Art Galerie.
Bruxelles, Galerie Armorial.
1978
Udine,Galleria del Girasole.
1977
Bruxelles, Galerie Govaerts.
Udine, Galleria del Girasole.
1976
Florence, Galerie Mentana.
Paris, Galerie de France.
Toulouse, Galerie Chappe Lantier.
Udine, Galleria del Girasole.
1975
Udine, Galerie Giorgio de Cillia.
Lyon, Galerie Nicole Fourrier.
Toulouse, Galerie Protée.
Bologne, Galleria d’arte moderna.
1974
Toulouse, Galerie Protée.
Pescara, Galerie d’arte Verrochio.
Châteauroux, Galerie Lafond.
1973
Paris, Galerie de France.
Venise, Galerie Ravagnan.
Cortina d'Ampezzo, Galerie Hausammann.
Milan, Galerie Pace.
Luxembourg, Galerie Paul Bruck.
1972
Bruxelles, Galerie Aspects.
Padoue, Galleria d’arte Antenore.
Caracas, Galerie de arte Antanona.
Trieste, Galerie Torbandena.
1971
Tokyo, Galerie Journal Seibu.
1970
Paris, Galerie Philippe Reichenbach.
Paris, Galerie de France.
Milan, Galleria del Milione.
Berlin, Galerie im Rathaus.
1969
Rennes, Galerie La Proue.
Strasbourg, Galerie Argens.
Rome, Galerie Nuova Pesa.
1968
Paris, Galerie de France.
1964
Saint-Etienne, Galerie Désiré.
Vienne, Galerie "ZB".
Milan, Galleria Nuova Milano.
Paris, Galerie du Passeur.
1963
Aix-en-Provence, Galerie Spinazzola.
Amsterdam, Kunsthandel M.L. de Boer.
1962
Paris, Galerie de France.
New York, Galerie John Lefèvre.
Paris, Galerie du Passeur.
Cannes, Galerie Cavalero.
Bâle, Galerie Bettie Thommen.
Grenoble, Galerie Parti pris.
1961
Aix-en-Provence, Galerie Spinazzola.
1960
Paris, Galerie de France.
1959
Monte-Carlo, Galerie Rauch.
1958
Paris, Galerie de France.
New York, Perls Gallery.
1956
New York, Perls Gallery.
1955
Paris, Galerie de France.
Paris, Galerie de France.
1953
Paris, Galerie de France.
1953
Paris, Galerie de France.
1952
Paris, Galerie de France.
1951
Lille, Galerie Evrard.
Londres, The Leicester Galleries.
1949
Paris, Galerie de France.
1948
Bruxelles, Galerie Apollo.
1946
Paris, Galerie de France.
Édouard Pignon, Luxembourg Art Moderne
18 septembre - 06 novembre 2010
Expositions de groupe à la galerie
Guerre(s), Paris
18 décembre 2019 - 01 février 2020
Pierre Buraglio / Edouard Pignon, Paris
05 septembre - 18 octobre 2014
Oeuvres sur papier, Luxembourg Art Moderne
08 mars - 23 juin 2012
50: Les années fertiles, Luxembourg
30 juin - 31 août 2011
Principales expositions personnelles
2014
Pierre Buraglio/Edouard Pignon, Paris, Galerie Bernard Ceysson, 5 septembre – 18 octobre 2014.
2013
Edouard Pignon, Femmes en Méditerranée : Catalanes à Collioure, étés 1945-1946, Collioure, Musée d’Art moderne, 2013
2007
Riom, Musée Mandet.
2006
Roubaix, La Piscine Musée d’art et d’industrie André-Diligent.
Saint-Rémy-de-Provence, Centre d’art Présence Van Gogh.
2005
Issoudun, Musée de l'Hospice Saint-Roch.
Céret, Musée d’art moderne.
2004
Béthune, Espace Saint-Pry - Desvres, musée de la céramique.
1997/98
Lille, Palais des Beaux-Arts.
Aix-en-Provence, Galerie d’Art du Conseil Général des Bouches-du-Rhône.
Issoudun, Musée de l'Hospice Saint-Roch.
Paris, Assemblée nationale.
Deruta, Museo Regionale della Ceramica, Deruta.
1993
Airaines, Prieuré.
1992
Vichy, Centre culturel Valéry Larbaud, XVe festival d’art contemporain de Vichy.
1991
Alençon, Musée des beaux-arts et de la dentelle.
1990
Paris, Musée national d’art moderne, Centre Georges Pompidou
1988
Paris, Musée national d’art moderne, Centre Georges Pompidou
1987
Issoudun, Musée de l’Hospice Saint-Roch.
Bédarieux, Musée.
Auchel, Ciné-théâtre / Lens, Le Colisée / Armentières, Salle Carnot.
1986
Dieppe, Château-musée.
1985
Paris, Galeries nationales du Grand Palais.
Paris, Théâtre du Rond-Point.
1984
Antibes, Musée Picasso.
1983
Villeurbanne, Hôtel de ville.
Villejuif, Théâtre Romain Rolland.
Bourges, Maison de la culture.
1981
Paris, Musée-galerie de la Seita.
Luxembourg, Galerie d'art municipale d'Esch-sur-Alzette.
Paris, Musée de la Poste.
1980
Brest, Palais des arts et de la culture.
Paris, Musée national d'art moderne, Centre Georges Pompidou.
Roissy, Comité d'établissement Air France.
1979
Sabbioneta, Palais ducal.
1978
Corbeil-Essonnes, Centre culturel Pablo Neruda.
Bobigny, Hall d’honneur de l’Hôtel de ville.
Argenteuil, Salle des fêtes Jean Vilar.
Bayonne, 19e entretiens de Bayonne, Salons de l’Hôtel de Ville.
Béziers, Musée des beaux-arts.
Aubagne, Centre culturel communal.
Evreux, Musée-Palais épiscopal.
Aulnay, Gymnase du Moulin neuf.
1977
Ris-Orangis, salle Robert Desnos.
Marcq-en-Baroeul, Fondation Anne et Albert Prouvost.
Sainte-Geneviève-des-Bois, Salle Gérard Philipe.
Saint-Etienne-du-Rouvray, Salle des fêtes de l’Hôtel de ville.
Petit-Quevilly, Centre culturel municipal, Théâtre Maxime Gorki.
Nevers, Maison de la culture.
1976
Paris, Musée d'art moderne de la ville.
Nanterre, Palais des sports.
Arras, Centre culturel Noroit.
Céret, Musée municipal d'art moderne.
1975
Nanterre, Hôtel de ville.
Valreas, Château de Simiane, Salon de l'enclave.
1974
Varsovie, Palais Zacheta.
Douai, Hôtel de ville.
Calais, Musée des beaux-arts et de la dentelle.
Luxembourg, Musée d’Histoire et d’Art.
Saint-Pol, Musée.
Saint-Maximin, Hôtel de ville.
1973/74
Exposition de cinquante œuvres monumentales de 1936 à 1973 en Roumanie : Bucarest, salle Dalles ; Galatzi, Musée d'Art ; Oradea, Musée d'Art / Hongrie : Budapest, salle du Palais des expositions Mücsarnok / Pologne : Katowice, Musée national.
Le Creusot, Maison des arts et loisirs.
Denain, IIe Salon d'art contemporain des Etablissements Usinor.
Paris, Mercœur, Hauts-de-Belleville, Sceaux, Poterne-des-Peupliers,,Orgemont, Chaville, Point-du-Jour, Maisons de la culture.
1972
Bruxelles, Théâtre du Parvis.
Angers, Théâtre.
1971
Mont-Saint-Aignan, Hall d’accueil de l’Institut national supérieur de chimie industrielle de Rouen.
1970
Paris, Musée Galliera.
Lyon, Théâtre du VIIIe.
Vénissieux, Centre culturel-Maison du peuple.
Sochaux, M.A.L.S.
Trappes, Groupe scolaire Henri-Wallon.
Berlin, Kunstamt, Berlin-Tempelhof.
Montauban, Musée Ingres.
1969
La Seyne-sur-Mer, salle des fêtes de l’Hôtel de ville.
Saint Etienne, Maison de la culture et des loisirs.
Cluny, abbaye, salle Saint Hugues.
Saint-Etienne-du-Rouvray, Office culturel municipal.
Esch/Alzette, Galerie municipale.
Châteauvallon, Centre de rencontres.
1966/67
Amiens, Reims, Thonon-les-Bains, Rennes, Lorient, exposition itinérante dans différentes maisons de la culture.
Paris, Musée national d'art moderne.
1965
Valenciennes, Musée des beaux-arts.
Lille, Palais des beaux-arts, exposition rétrospective : peintures, aquarelles, dessins.
Namur, Maison de la culture.
Charleroi, Palais des beaux-arts.
1964
Caen, Maison de la culture, dessins, gouaches.
Lucerne, Kunstmuseum.
Genève, Musée d'art et d'histoire.
1963
Le Havre, Musée-Maison de la culture.
Lausanne, Guilde du disque.
1961
Nantes, Musée des beaux-arts (avec Gaston Chaissac).
1960
Metz, Musées de Metz.
Luxembourg, Musée de l'Etat.
1954
Louisville, University of Louisville, Allen R. Hite Art Institute.
Paris, Maison de la pensée française.
1939
Paris, Maison de la culture.
Galeries
2006
Lille, Galerie Dorval.
Paris, Galerie Foirien-Néouze.
Lille, Galerie Dorval.
Le Touquet, Galerie Emeraude.
2005
Céret, Galerie Odile Oms.
2004
Paris, Galerie Guislain Etats d’Art.
1997/98
Lille, Galerie R. Mischkind.
Lille, Galerie Régis Dorval.
Lille, Galerie Jacqueline Storme.
1993
Le Touquet, Galerie Régis Dorval.
1992
Paris, Galerie Le Monde de l’Art.
Luxembourg, Galerie de Luxembourg II
1991
Le Touquet, Galerie Régis Dorval.
1989
Le Touquet, Galerie Régis Dorval.
1988
Bruxelles, Galerie Pascal Polar.
Rome, Casa d’arte La Gradiva.
1987
Paris, Galerie Beaubourg.
Luxembourg, Galerie de Luxembourg.
Lille, Galerie Régis Dorval.
1986
Bordeaux, Galerie Condillac.
Milan, Galleria d’arte "Il Fante di Spade".
Clermont-Ferrand, Galerie Gastaud.
Marseille, Galerie Jouvène.
1985
Paris, Galerie Beaubourg.
Paris, Galerie Patrice Trigano.
Paris, Galerie Beaubourg.
Lille, Galerie Régis Dorval.
Rome, Casa d’Arte La Gradiva.
1984
Rome, Casa d’Arte La Gradiva.
1982
Rome, Casa d’Arte La Gradiva del Centro La Barcaccia.
Paris, Galerie Beaubourg.
Arras, Galerie Régis Dorval.
Montecatini Terme, Galleria La Barcaccia.
Bologne, Galleria Maggiore.
Rome, Galleria La Gradiva.
1981
Genève, Galerie des Granges.
Udine, Galleria del Girasole.
Cerrina Monferrato, Galleria Adriano Villata.
1980
Le Touquet, Galerie du Verger.
1979
Bruges, Interior Art Galerie.
Bruxelles, Galerie Armorial.
1978
Udine,Galleria del Girasole.
1977
Bruxelles, Galerie Govaerts.
Udine, Galleria del Girasole.
1976
Florence, Galerie Mentana.
Paris, Galerie de France.
Toulouse, Galerie Chappe Lantier.
Udine, Galleria del Girasole.
1975
Udine, Galerie Giorgio de Cillia.
Lyon, Galerie Nicole Fourrier.
Toulouse, Galerie Protée.
Bologne, Galleria d’arte moderna.
1974
Toulouse, Galerie Protée.
Pescara, Galerie d’arte Verrochio.
Châteauroux, Galerie Lafond.
1973
Paris, Galerie de France.
Venise, Galerie Ravagnan.
Cortina d'Ampezzo, Galerie Hausammann.
Milan, Galerie Pace.
Luxembourg, Galerie Paul Bruck.
1972
Bruxelles, Galerie Aspects.
Padoue, Galleria d’arte Antenore.
Caracas, Galerie de arte Antanona.
Trieste, Galerie Torbandena.
1971
Tokyo, Galerie Journal Seibu.
1970
Paris, Galerie Philippe Reichenbach.
Paris, Galerie de France.
Milan, Galleria del Milione.
Berlin, Galerie im Rathaus.
1969
Rennes, Galerie La Proue.
Strasbourg, Galerie Argens.
Rome, Galerie Nuova Pesa.
1968
Paris, Galerie de France.
1964
Saint-Etienne, Galerie Désiré.
Vienne, Galerie "ZB".
Milan, Galleria Nuova Milano.
Paris, Galerie du Passeur.
1963
Aix-en-Provence, Galerie Spinazzola.
Amsterdam, Kunsthandel M.L. de Boer.
1962
Paris, Galerie de France.
New York, Galerie John Lefèvre.
Paris, Galerie du Passeur.
Cannes, Galerie Cavalero.
Bâle, Galerie Bettie Thommen.
Grenoble, Galerie Parti pris.
1961
Aix-en-Provence, Galerie Spinazzola.
1960
Paris, Galerie de France.
1959
Monte-Carlo, Galerie Rauch.
1958
Paris, Galerie de France.
New York, Perls Gallery.
1956
New York, Perls Gallery.
1955
Paris, Galerie de France.
Paris, Galerie de France.
1953
Paris, Galerie de France.
1953
Paris, Galerie de France.
1952
Paris, Galerie de France.
1951
Lille, Galerie Evrard.
Londres, The Leicester Galleries.
1949
Paris, Galerie de France.
1948
Bruxelles, Galerie Apollo.
1946
Paris, Galerie de France.
Bibliographie sélective
Monographie
2007
Philippe Bouchet, Edouard Pignon, Paris, Cercle d’Art, 2007.
2004
Philippe Bouchet, Edouard Pignon, Neuchâtel, Editions Ides et Calendes, 2004.
1976
Jean-Louis Ferrier, Pignon, Paris, Les Presses de la Connaissance, 1976.
Textes d’Edouard Pignon
1966
Edouard Pignon, La Quête de la réalité, Paris, Gonthier, 1966, rééd. 1968, 1974, 1983 et 1985.
1974
Edouard Pignon, Contre-courant, Paris, Stock, 1974.
Catalogues d’exposition
2013
BOUCHET Philippe, et al., Edouard Pignon, Femmes en Méditerranée : Catalanes à Collioure, étés 1945-1946, Collioure, Musée d’Art moderne, 2013.
2006
Edouard Pignon, au cœur du monde cézannien, Centre d’art Présence Van Gogh, Saint-Rémy-de-Provence, 2006.
2005
Edouard Pignon, « du rythme entre les choses », Musée de l’Hospice Saint-Roch, Issoudun - Musée d’art moderne, Céret - La Piscine Musée d’art et d’industrie André-Diligent, Roubaix, Paris, Somogy, 2005.
2004
Edouard Pignon, pittore ceramista a Vallauris / peintre céramiste à Vallauris 1951-1954, Museo Regionale della Ceramica de Deruta, Florence, Centro Di, 2002, rééd. 2004.
2000
Edouard Pignon, dessins et carnets, Musée de l’Hospice Saint-Roch, Issoudun, 2000.
1999
Edouard Pignon en pleine lumière, Galerie d’art du Conseil Général des Bouches-du-Rhône à Aix-en-Provence, Arles, Actes Sud, 1999.
1997-1998
Edouard Pignon, rétrospective, Palais des beaux-arts, Lille, 1997-1998.
1985
Pignon, Galeries nationales du Grand Palais, Paris, C.N.A.P. / Denoël, 1985.
1966Edouard Pignon, Musée national d’art moderne, Paris, 1966.
Monographie
2007
Philippe Bouchet, Edouard Pignon, Paris, Cercle d’Art, 2007.
2004
Philippe Bouchet, Edouard Pignon, Neuchâtel, Editions Ides et Calendes, 2004.
1976
Jean-Louis Ferrier, Pignon, Paris, Les Presses de la Connaissance, 1976.
Textes d’Edouard Pignon
1966
Edouard Pignon, La Quête de la réalité, Paris, Gonthier, 1966, rééd. 1968, 1974, 1983 et 1985.
1974
Edouard Pignon, Contre-courant, Paris, Stock, 1974.
Catalogues d’exposition
2013
BOUCHET Philippe, et al., Edouard Pignon, Femmes en Méditerranée : Catalanes à Collioure, étés 1945-1946, Collioure, Musée d’Art moderne, 2013.
2006
Edouard Pignon, au cœur du monde cézannien, Centre d’art Présence Van Gogh, Saint-Rémy-de-Provence, 2006.
2005
Edouard Pignon, « du rythme entre les choses », Musée de l’Hospice Saint-Roch, Issoudun - Musée d’art moderne, Céret - La Piscine Musée d’art et d’industrie André-Diligent, Roubaix, Paris, Somogy, 2005.
2004
Edouard Pignon, pittore ceramista a Vallauris / peintre céramiste à Vallauris 1951-1954, Museo Regionale della Ceramica de Deruta, Florence, Centro Di, 2002, rééd. 2004.
2000
Edouard Pignon, dessins et carnets, Musée de l’Hospice Saint-Roch, Issoudun, 2000.
1999
Edouard Pignon en pleine lumière, Galerie d’art du Conseil Général des Bouches-du-Rhône à Aix-en-Provence, Arles, Actes Sud, 1999.
1997-1998
Edouard Pignon, rétrospective, Palais des beaux-arts, Lille, 1997-1998.
1985
Pignon, Galeries nationales du Grand Palais, Paris, C.N.A.P. / Denoël, 1985.
1966Edouard Pignon, Musée national d’art moderne, Paris, 1966.