Mitja Tušek

Né en 1961, à Maribor, Slovénie. 
Vit et travaille à Bruxelles, Belgique. 


   Présentation 

D'origine slovène, l'artiste suisse Mitja Tušek expose depuis le milieu des années 80. Ses peintures se jouent de la figuration et de l'abstraction. Les peintures figuratives sont presque abstraites, et dans les peintures abstraites la présence de l'image n'est jamais complètement évacuée. Les matériaux qu'il utilise participent de cette ambivalence : cire, plomb, pigment d'interférence, par leur pouvoir d'absorption ou de réflexion, provoquent une perception ambiguë de l'image ; on la devine plus qu'on ne la voit et pourtant on en conserve une présence presque palpable.
Les œuvres que nous présentons de Mitja Tušek sont des œuvres récentes parfois reprises d'œuvres plus anciennes qui déterminent et constituent dans son art une série qui est d'abord une magistrale démonstration de ce que l'on désignait naguère à l'aide du terme « painterly ». Ces peintures semblent soit contester toute la production antérieure par leur emportement quasi expressionniste soit l'accomplir dans un excès qui en déploie ce que retenait le métier des peintures à la cire ou d'œuvres, plus récentes, toujours somptueusement peintes mais dont les motifs, les représentations, les compositions étaient régulées par une attitude conceptuelle assurant le devenir de motifs divers, mots, aphorismes dans des formes en assumant la nécessité. Ici, tout est porté à l'intensité.



La matière picturale emporte dans ses profondeurs et ses girations, qui regarde cette germination d'une nature profuse inspirée par Courbet, Menzel, Kokoschka et autres artistes du XIXème siècle mais comme si ces derniers avaient fréquenté Pollock et Rothko. La couleur dans ses accords inattendus où des garances et des violets portent les verts à une vibration dont seule la qualification de « musicale » rend compte - on ose écrire un long lamento de violon - construit par sa saturation même un espace tendu qui renvoie à qui l'affronte toutes les questions que nous nous posons, aujourd'hui, sur la peinture et la picturalité.




Life on Mars


Dans l’exposition Life on Mars, l’artiste suisse Mitja Tušek, dépeint l’ambiguïté « des êtres vivants » à travers des existences picturales qui oscillent entre représentation et abstraction, protocole et aléatoire.
C’est tout d’abord le genre du portrait qui se trouve rappelé avec de grandes toiles tirées de la série des Cercles amorcée en 2015. Voici avec Cercles 2018, de nouveaux portraits de groupe. Chaque figure disloquée est une variation combinatoire de neuf disques noirs de diamètres différents, agencés sur un fond pâle à la fois uni et instable car travaillé avec des pigments prismatiques qui réfléchissent l’ensemble du spectre chromatique en fonction de l’inclinaison lumineuse. Les ponctuations géométriques circulaires sont symboliquement chargées, ce sont les neuf orbes de l’Enfer de Dante mais aussi bien des images- signes plus légères : une déclinaison de grotesques Mickey Mouse. Les taches aveuglantes évoquent aussi la machine abstraite du visage conceptualisée par Deleuze : « mur blanc – trou(s) noir(s) ».


Puis le motif de la femme nue se joue de son sujet académique à travers des formes qui s’épanchent et s’émancipent de leur dessein pour tendre vers le chaos de l’informe. « Se rappeler qu’un tableau, écrit Maurice Denis à la fin du 19°siècle, avant d’être [...] une femme nue [...] est essentiellement une surface plane recouverte de couleurs en un certain ordre assemblées». Précisément chaque toile peinte à l’acrylique est un assemblage résultant d’une concrétion d’applications successives de dépôt de matière picturale. Selon un même processus d’élaboration, chaque couche de peinture laquée déposée finement sur une première toile est en effet immédiatement appliquée encore fraiche par report sur une seconde toile pour la production d’une réplique, une empreinte tirée de cette matrice éphémère. Chaque toile est ainsi feuilletée d’un assemblage d’une soixantaine de reports estampés. Ces pellicules picturales engendrent des figures féminines déformées dans la matérialité de leur chair de peinture, elles s’abîment en symétrie inversée dans l’étrangeté d’une ressemblance non iconique, une « ressemblance par contact1 ». Réversibilité et dissemblance sont constitutives de l’empreinte. Avec les Femmes nues, 2004-2011, matrice et tirage se confondent. Laquelle est le revers de l’autre ? Ces doublures de peinture produisent du doute.


Les Peintures texte, 2009-2018, exacerbent cette réversibilité symétrique en rejouant le processus des fameux tests de Rorschach. Mais au-delà de la visibilité de ces surfaces de projection pour l’imaginaire et la perception de leur matérialité sensible, s’ordonnance conjointement la lisibilité de mots à la verticale, dissimulés par le signifiant pictural. Comme un chiasme, à la fois visuel et textuel, se répondent les deux faces d’une même médaille : « Fierté/Honte ». Ou encore « Que faire ? ». Cet emprunt citationnel à Lénine puis à Mario Merz (dans son œuvre Che Fare, 1969) qui traduit un doute à la fois existentiel et politique, réfléchit aussi l’instabilité du regardeur, son hésitation entre ce qu’il voudrait voir et ce qu’il pourrait concevoir. Tout visible n’est-il pas étoffé de sa doublure d’invisible2 ? « Il suffit de regarder autour de soi pour voir la vie sur Mars », affirme sérieusement, avec humour, Mitja Tušek.


Anne Favier




Ceci/Cela


Cette exposition, la quatrième collaboration de Mitja  Tušek avec la Galerie Bernard Ceysson, dévoilera une nouvelle série de peintures intitulée « Circle Paintings », dans lesquelles des cercles noirs, toujours au nombre de neuf et de taille différente, flottent sur un fond de peinture d'interférence, se fondent parfois les uns aux autres et suggèrent toujours dans leur combinaison une figure qui ne se matérialise jamais tout à fait. Ceux qui sont familiers avec le travail de Tušek y reconnaîtront immédiatement des affinités formelles et des préoccupations communes à ces nouvelles œuvres et aux « Text Paintings ». Dans ces dernières, l'artiste plie la toile pour créer un dédoublement dans lequel le mot qui se reflète produit quelque chose qui ressemble à un test de Rorschach et qui vacille entre le lisible, le purement abstrait et une figuration étrange, quand bien même ici aussi nous ne pouvons pas établir quelle est la figure esquissée.


Dans les deux séries Tušek utilise également des pigments d'interférence qui varient en couleur et en nuance en fonction de notre position et de la lumière et induisent un mouvement à ces œuvres. L'attention au mouvement et les tentatives de le rendre à la peinture sans tomber dans l'artificialité est un fil rouge dans le travail de cet artiste. Il a une première fois attiré l'attention du monde de l'art avec les peintures en cire présentées à la Documenta IX. Certaines d'entre elles sont figuratives, cependant la multiple application de la cire pigmentée couche après couche prête une apparence fantomatique aux éléments figuratifs qui sous certaines conditions semblent presque disparaître. D'autres tableaux qui à première vue paraissent être des monochromes sans profondeur, impénétrables et ne reflétant que notre ombre, soudainement, par un changement de lumière ou de point de vue peuvent ouvrir un puits profond comme si le miroir insondable avait décidé de révéler sa profondeur liquide, ou peuvent révéler des formes que nous n'avions pas pu imaginer là une seconde plus tôt, ou simplement montrer des traces du couteau qui a travaillé la cire. Dans une série antérieure l'artiste utilise comme support la feuille de plomb sur laquelle il expose les éléments de sa composition à l'oxydation que la matière est susceptible de subir : avec le temps les couleurs perdent leur éclat et les formes se fondent avec le support ne survivant guère plus qu'en mémoire.


Une qualité particulière et admirable dans le travail de ce peintre Suisse/Slovène, qui vit à Bruxelles, est qu'il évoque ces questions sans jamais être pédant ou moralisateur. Le travail de Tušek est quelque chose de rare ces jours-ci: s'il peut être est conscient à ses gestes et leur portée sans tomber dans le nombrilisme et sans réduire son horizon à quelque truismes, c'est parce que cette autoconscience est née d'un œil - ludique, sardonique, ironique - qui ne perde jamais de vue ni le regard de l'autre ni les mystères qui rodent juste en dehors du cadre.



Emiliano Battista



Les paysages évanescents que peignaient Tušek à la fin des années quatre-vingt observaient la loi fondamentale du genre, celle d’un horizon séparant la terre du ciel ; encore ce dernier était-il étiré de telle sorte que sa disparition était à terme inéluctable. Avec ses peintures de 2006 à 2019, désignées comme « forêts », l’espace est sans repère, le regard se perd dans un fouillis resserré de teintes vertes et bleues, parfois brunes, dont la matière présente des trames régulières.


Tušek procède par application, non pas de la toile sur la toile, mais de feuilles de papier bulle imprégnées de peinture sur la toile. Par ce moyen - d’un même mouvement, le plastique pose, repousse et aspire la peinture -, la profondeur apparaît en pleine surface et le regard est amené à se perdre dans des accidents successifs, qui se résolvent finalement en un ensemble cohérent.

L’émergence d’un procès figuratif est de nouveau aléatoire, mais terriblement effective : nous sommes confrontés, moins à l’image déjà accomplie d’un paysage, qu’à la formation cellulaire de ce qui finit sous nos yeux par le constituer. Comme on le sait, il n’y a de paysage que pour celui qui en est suffisamment détaché pour le voir comme tel ; le sous-bois, lui, ne trouve sa réalité propre que pour celui qui s’y perd, marche fictive et regard actuel associé dans le même trouble.


La forêt à laquelle songe Mitja Tušek peut être comprise comme celle, antérieure à toute civilisation, que ne traverse aucun chemin, que ne coupe aucune clairière, d’où le ciel serait

observable.


Un monde en soi avant l’entreprise civilisatrice qui l’a rendue visible en l’asservissant, une « nature » qui ne peut même être désignée comme telle. « Sans ces contrées extérieures » « les persécutés, les proscrits, les égarés, les mystiques ont cherché refuge », il n’y a plus, pour Robert Harrisson, « d’intérieurs où habiter ».


Les sous-bois de Tušek appartiennent à un domaine totalement étranger aux prétentions humaines, se déploient comme une région essentiellement inconnue, mais dans laquelle

précisément il peut à nouveau exercer ses sens, hors la loi qui contraint le regard à reconnaitre un point de fuite.


Ces forêts ne se réfèrent à un quelconque modèle. Elles se manifestent avec le même caractère abrupt, le même aplomb qu’une réalité qui s’invente de toutes pièces au lieu du regard.


Alain Cueff, extrait du texte L’axe de la peinture, 2018

Expositions monographiques à la galerie
Mitja Tušek, Panéry, Pouzilhac
20 janvier - 20 février 2024

Mitja Tušek, Wandhaff
12 juin - 30 juillet 2021

Mitja Tusek, Saint-Etienne
26 avril - 02 juin 2018

MITJA TUSEK, Paris
05 septembre - 17 octobre 2015

Mitja Tušek, Saint-Etienne
02 octobre 2014 - 09 janvier 2015

Mitja Tusek, Genève
02 mai - 29 juin 2013

Mitja Tušek, Luxembourg
08 septembre - 05 novembre 2011


Expositions de groupe à la galerie
Printemps Saint-Étienne, Saint-Etienne
12 juin - 25 juillet 2020

10 ANS à Luxembourg, Wandhaff
02 juin - 04 août 2018

Diverses sont les lignes de la vie … Hölderlin, Wandhaff
10 septembre - 29 octobre 2016

La Ligne Passée, Luxembourg
30 juin - 16 septembre 2012

La Ligne Passée, Luxembourg Art Moderne
30 juin - 15 septembre 2012




Expositions personnelles (sélection)

2024
(A venir) Ici, ailleurs, Panéry, Uzès, France

2021
Freizeit ist Arbeit, Wandhaff, Luxembourg

2021
Mitja Tusek, Complementary Colors, Galerie Baronian Xippas, Bruxelles, Belgique
Mitja Tusek, Galerie Ceysson & Bénétière, Wandhaff, Luxembourg

2018
Mitja Tušek, Life on Mars, Galerie Bernard Ceysson, Saint-Etienne, France

2016
Small World, Albert Baronian, Bruxelles, Belgique

2014
Mitja Tušek, Don't make me repeat it, Galerie Bernard Ceysson, Saint-Etienne, France

2013
Mitja Tušek, Galerie Bernard Ceysson, Genève, Suisse

2012
La Ligne Passée, Galerie Bernard Ceysson, Luxembourg

2011
Great Balls of Fire, Etablissement d'en face Projects, Bruxelles, Belgique
Mitja Tusek - success and Failure, Galerie Bernard Ceysson, Luxembourg

2010
In de Wind, centre culturel Strombeek, Grimbergen (Strombeek-Bever), Belgique
Pantalone, centre culturel Strombeek, Grimbergen (Strombeek-Bever), Belgique
Pantalone, centre culturel Mechelen, Malines, Belgique

2008
In the Future Even The Past Will be Better, LLS387 Ruimte voor actuele kunst, vzw, Anvers, Belgique

2006
Galerie Nelson, Paris, France

2000
New Paintings, Kohn Turner Gallery, Los Angeles, États-Unis
Galerie Nelson, Paris, France

1998
No doubt, Galerie Xavier Hufkens, Bruxelles, Belgique
Museum of Modern Art, Oxford, Royaume-Uni

1996
Laura Carpenter Fine Art, Santa Fe, États-Unis

1995
Somehow, Anyhow, L'Aquarium, École des Beaux-Arts, Valenciennes, France
Galerie Nelson, Paris, France
Galerie Paul Andriesse, Amsterdam, Pays-Bas

1994
Galerie Bob van Orsouw, Zürich, Suisse

1993
Quelconque, Fundatio Joan Mirò, Barcelona, Espagne
Galerie Nelson, Paris, France
Galerie Bruges la morte, Bruges, Belgique

1992
Galerie Paul Andriesse, Amsterdam, Pays-Bas
Moderna Galerija, Ljubljana (cat.), Slovénie

1991
Galerie Bruges la morte, Bruges, Belgique
Galerie Nelson, Lyon, France

1990
Galerie Froment & Putman, Paris (cat.), France
Shedhalle, Zürich (cat.), Suisse

1989
L'Ecole de Nîmes, Nîmes (cat.), France

1987
Centre d'art contemporain, Geneva, Suisse

1986
Objets photographiques, Galerija Ars, Maribor (cat.), Slovénie



Expositions collectives (sélection)

2023
Quinquagesimum, Fondation CAB Brussels, Brussels, Belgique

2022
The Shop Show, Knokke, Belgique
The Shop Show, Brussels, Belgique
K-K Collection, Rijksmuseum Twenthe, Enschede, Pays-Bas

2021
The Shop Show, Brussels, Belgique

2020
Printemps , Galerie Ceysson & Bénétière, Saint-Étienne, France

2019
Too much is not enough! The Donation "Artelier Collection", Neue Galerie Graz, Graz, Austria
Salon de Peinture, Museum of Contemporary Art Antwerp, Antwerp, Belgique

2018
Lolo's Entanglements, De Warande, Turnhout, Belgique

2016
The shop facing the corner, Baronian Xippas, Bruxelles, Belgique

2015
Index, Galerie de Multiples, Paris, France
Eminent Domains (proper names), Robert Miller Gallery, New York, États-Unis
Echoes, ING Art Center, Brussels, Belgium

2014
Biennale de la peinture, Roger Raveelmuseum, Museum Dhondt-Daenens, Museum van Deinze, Deurle , Deinze, Belgique

2013
Cadavre Exquis. A Figure of Painting, LLS 387, Anvers, Belgique
QNX4, Bruges, Belgique
Le Pont, MAC, Marseille, France
E-Motion, Fondation Maeght, Saint-Paul-de-Vence, France

2009
Jeugdzonde. Over opus één en opus min één, LLS 387 Ruitme voor actuele Kunst, vzw, Anvers, Belgique

2007
25th Anniversary, Galerie Nelson, Paris, France
Géométries variables, Galerie de Multiples, Paris, France
Multiples, La lettre volée, Bruxelles, Belgique
Curating the library, Singel International Kunstcampus, Anvers, Belgique

2005
Contrée, FRAC Poitou-Charentes, Angoulême, France

2002
L'effet Larsen, processus de résonnance dans l'art contemporain, Centrum für Gegenwartskunst, Linz, AU & Casino Luxembourg, Luxembourg (cat.)
Peintures, Galerie du Cloître, Ecole des Beaux-Arts, Rennes, France

2001
Michael Kohn Gallery, Los Angeles, États-Unis
Remember Camembert, FRAC Poitou-Charentes, Angoulême, France

1999
A Quiet Storm : Painting in Abstraction, Kohn Turner Gallery, Los Angeles, États-Unis

1997
Abstraction/Abstractions, Géométries provisoires, Musée d'Art Moderne, Saint-Etienne (cat.), France
Radicaal-Beeld, Stedelijk Museum, Schiedam, Pays-Bas
Heaven, PS1, New York, États-Unis

1996
The Event Horizon, The Irish Museum of Modern Art, Dublin (cat.), Irlande

1995
Pittura/Immedia, Neue Galerie, Graz (cat.), Autriche
Pittura/Immedia, Kunsthalle, Budapest, Hongrie
Collection fin XX° 1983-1995, douze ans d'acquisition d'art contemporain en Poitou-Charentes, Musée Sainte-Croix, le Confort moderne, Hôtel de Région, Poitiers, France
Color and Structure, Galerie Lelong, New York, États-Unis
Kohn Turner Gallery, Los Angeles, États-Unis

1994
et passim , Kunsthalle Bern (cat.), Bern, Suisse

1993
The Sublime Void, Koninklijk Museum voor Schone Kunsten, Anvers (cat.), Belgique

1992
Documenta IX, Kassel (cat.), Allemagne

1990
De Pictura, Galerie Bruges la morte, Bruges (cat.), Belgique

1989
Burki, Lanz, Tušek, Voïta, Le Confort moderne, Poitiers (cat.), France
Figures, FRAC Rhône-Alpes, Lyon (cat.), France
Schlier, Tušek, FRAC Poitou-Charentes, Angoulême (cat.), France

1988
Quand voir c'est faire, Salle Crosnier, Geneva (cat.), Suisse
Centre d'art contemporain, Geneva (cat.), Suisse
7 Künstler aus den Schweiz-Siebdrucke, Edition Artelier, Forum Stadtpark,
Graz (cat.), Autriche

1986
Von Bildern, Kunsthalle Bern (cat.), Suisse
Monographie

2018
Mitja Tusek, Alain Cueff, Ceysson-Iac, Collection 22x22



Catalogues d'exposition

2015
Echoes, ING Art Management, Bruxelles, Belgique
Art by Commission, Vlaams Bouwmeester Art Team, Bruxelles, Belgique
Another Dream, Another Sense, Another Mind, Sint-Lukasgalerie, Bruxelles, Belgique

2013
De la géométrie sur les murs, L’APAGE, Genève, Suisse

2011
Kunst in het Ellipsgebouw, Agentschap voor Facilitair Management & Team Vlaams Bouwmeester, Bruxelles, Belgique

2010
M.T. Mitja Tušek & Michel Troisgros, Cultuurcentrum Mechelen and Cultuurcentrum Strombeek, Grimbergen

2001
Mitja Tušek. Brussels: La Lettre Volée.

1997
Abstractions provisoires. Saint-Etienne: Musée d'Art Moderne.

1995
Pittura/Immedia. Graz: Neue Galerie.
Collection, fin XX° 1983-1995, douze ans d'acquisition d'art contemporain en Poitou-Charentes. Angoulême: FRAC Poitou-Charentes.

1994
Et passim. Bern: Kunsthalle Bern.

1993
Quelconque. Barcelona: Fondation Miro.
The Sublime Void. Antwerp: Koninklijk Museum voor Schone Kunsten.

1992
Mitja Tušek. Ljubljana: Moderna Galerija.
Documenta IX. Kassel.

1990
Mitja Tušek. Paris: Galerie Froment & Putman.
Mitja Tušek. Zürich: Shedhalle.
De Pictura. Bruges: Galerie Bruges la morte.

1989
Mitja Tušek. Nîmes: L'École de Nîmes.
M.-J. Burki, E. Lanz, M. Tušek, B. Voïta. Poitiers: Le Confort moderne.
Daniel Schlier, Mitja Tušek. Angoulême: FRAC Poitou-Charentes.
Figures. Lyon, Saint-Priest: FRAC Rhône-Alpes.

1988
7 Künstler aus der Schweiz-Siebdrucke. Forum Stadtpark. Graz: Edition Artelier.

1987
Quand voir c'est faire. Geneva: Salle Crosnier.

1986
Objets Photographiques. Maribor: Galerija Ars.
Von Bildern. Bern: Kunsthalle Bern / Geneva: Centre d'art contemporain.


Articles de presse

2016
Claude Lorent, « Des vivions révélatrices », Art libre, no. 309

2011
Yoann van Parys, « Que fait le peintre entre deux expositions, le coureur cycliste entre deux courses, le présentateur de télévision entre deux enregistrements? », Flux News 57

2010
Christine Jamart, "Naked painting", L'art même n°47, 2ème trimestre, p. 33.

2009
Luk Lambrecht, "Mitja Tušek krijgt eindelijk de expo die hij verdient bij LLS387 in Antwerpen", Knack, 14 janvier.
Indra Devriendt, ART, 22 janvier.
bart Van Peel, Zone 03, 4-17 février.

2006
Valérie de Maulmin, Connaissance des Arts n°641, septembre, p. 174.
Michel Troisgros, troisgros.fr (website), septembre.
Frédéric Bonnet, "Tour des Galeries Rentrée émotive", Journal des Arts, 6-19 octobre, p. 25.

2002
Françoise-Aline Blain, "L'effet Larsen, vies parallèles et aiguës", Beaux Arts Magazine n°216, mai, p. 36.
Christine Jamart, "Mitja Tušek : l'abstraction est une fiction comme une autre", L'art même n°15.
Maxence Alcalde, Paris-art.com (website), 8 mars-13 avril.

2000
Valère Bertrand, L'Oeil n°520, octobre, p. 90.

1995
"La peinture en recouvrements", Journal des Arts n°12, mars.
Eric Suchère,- "Mitja Tušek", Beaux-Arts Magazine, septembre.
Claude Lorent, "Mitja Tušek", Art & Culture n°6, février.
"Mitja Tušek, Somehow, Anyhow", ddo, bulletin trimestriel d'information en Art Contemporain de l'Eurorégion Nord n°17, mars-avril.
"Esthétique de la disparition", Regards, Le Magazine de la Ville, Valenciennes n°16, mars-avril.
Michael Tarantino, "Review", Frieze, novembre-décembre.

1994
Michael Tarantino, "Review", Artforum, février.

1993
Luk Lamprecht, "De picturale Koregrafie van Mitja Tusek", De Morgen, 5 novembre.
Françoise-Claire Prodhon, "Review", Flash Art, octobre.

1992
Daniel Kurjakovic, "New Swiss Art", Flash Art n°165.
Jan Middendorf, "Mitja Tušek", Metropolis M n°3.

1991
"Was", Knack n°27.
Julika Funk, "Mitja Tušek, Verspiegelte Bildflächen", Du n°8.
Manuel Jover, "Le tableau aveuglé de Mitja Tušek", Beaux-Arts Magazine n°93, septembre.

1990
Olivier Zahm, "Mitja Tušek/Galerie Froment-Putman", Art Press n°146, mars.

1988
Lysianne Léchot, "Deux et deux font quatre", Faces n°10.


Interviews

1994
Robert-Jan Muller, KM n°9.
LE CHAT MESSAGER - Pièges - Christian Skimao - janvier 2024
LE CHAT MESSAGER - Christian Skimao
24 janvier 2024
Voir le fichier
LA TRIBUNE LE PROGRÈS - À la galerie Ceysson, les travaux aux variations lumineuses de Mitja Tusek - 2018
LA TRIBUNE LE PROGRÈS - Clément Goutelle
15 mai 2018
Voir le fichier
ArtBrussels
25 avril 2019
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03 novembre 2016