Pedro Cabrita Reis
Pedro Cabrita Reis
Pedro Cabrita Reis est né en 1956 à Lisbonne.
Considéré comme l'un des plus importants artistes portugais, il représente son pays à la Biennale de Venise en 2003.
Pedro Cabrita-Reis est à la recherche d´un art qui permet une approximation suggestive du monde.
Artiste conceptuel, il utilise le plus souvent l'eau, des formes géométriques, des meubles, éléments indispensables à la vie.
Considéré comme l'un des plus importants artistes portugais, il représente son pays à la Biennale de Venise en 2003.
Pedro Cabrita-Reis est à la recherche d´un art qui permet une approximation suggestive du monde.
Artiste conceptuel, il utilise le plus souvent l'eau, des formes géométriques, des meubles, éléments indispensables à la vie.
Pedro Cabrita Reis: Extrait du texte de Marie-Pascale Gildemyn
Pedro Cabrita Reis utilise tant les moyens de la sculpture, de l’installation que de la peinture pour faire voir, de façon suggestive, associative et en quelque sorte abstraite, une vision du monde et de la vie qui tend vers l’essence des choses, qui est nourrie par une attitude existentielle face à l’activité humaine, à sa raison d’être, à l’être.
Souvent l’artiste a recours à des éléments qui renvoient à l’architecture, et ce tant par les formes que par les matériaux utilisés. Ce faisant il évoque une activité élémentaire de l’homme, qui tout en construisant, en édifiant, tente non seulement d’affirmer sa présence dans le monde, car il se construit et s’édifie ainsi également lui-même, mais répond aussi à un besoin élémentaire de se protéger, de s’isoler ou au contraire, de se regrouper.
Ainsi, le recours à la forme de la citerne et du puits à eau, qui apparaît dans l’œuvre vers 1990, rappelle la fonction première de ceux-ci qui est d’alimenter l’homme en eau. En même temps elle renvoie de façon symbolique à l’eau elle-même, qui est un élément essentiel de tout processus de vie. Mais cette forme évoque également ce lieu de rencontre, de partage et de communication qu’est (ou que fut) le puits (ou le point d’eau) dans la plupart des communautés, et ce à travers l’espace et le temps.
Dans le courant des années 1990, la lumière, autre élément vital, apparaît dans l’œuvre, en général sous la forme de tubes néon blancs allumés. Elle s’affirme de plus en plus comme une composante essentielle de celle-ci.
Marie-Pascale Gildemyn
Pedro Cabrita Reis utilise tant les moyens de la sculpture, de l’installation que de la peinture pour faire voir, de façon suggestive, associative et en quelque sorte abstraite, une vision du monde et de la vie qui tend vers l’essence des choses, qui est nourrie par une attitude existentielle face à l’activité humaine, à sa raison d’être, à l’être.
Souvent l’artiste a recours à des éléments qui renvoient à l’architecture, et ce tant par les formes que par les matériaux utilisés. Ce faisant il évoque une activité élémentaire de l’homme, qui tout en construisant, en édifiant, tente non seulement d’affirmer sa présence dans le monde, car il se construit et s’édifie ainsi également lui-même, mais répond aussi à un besoin élémentaire de se protéger, de s’isoler ou au contraire, de se regrouper.
Ainsi, le recours à la forme de la citerne et du puits à eau, qui apparaît dans l’œuvre vers 1990, rappelle la fonction première de ceux-ci qui est d’alimenter l’homme en eau. En même temps elle renvoie de façon symbolique à l’eau elle-même, qui est un élément essentiel de tout processus de vie. Mais cette forme évoque également ce lieu de rencontre, de partage et de communication qu’est (ou que fut) le puits (ou le point d’eau) dans la plupart des communautés, et ce à travers l’espace et le temps.
Dans le courant des années 1990, la lumière, autre élément vital, apparaît dans l’œuvre, en général sous la forme de tubes néon blancs allumés. Elle s’affirme de plus en plus comme une composante essentielle de celle-ci.
Marie-Pascale Gildemyn
Expositions de groupe à la galerie
Carte blanche aux éditions Urucum , Lyon
15 février - 23 mars 2024
La Ligne Passée, Luxembourg
30 juin - 16 septembre 2012
La Ligne Passée, Luxembourg Art Moderne
30 juin - 15 septembre 2012
Expositions
1990.
Carnets de voyages Fondation Cartier, Jouy en Josas
1992
Documenta IX, Kassel, Allemagne
2003.
Longer Journeys 50e Biennale de Venise
2007.
Fundação Berardo, Lisbonne, Portugal
2010
"L' un après l'autre, quelques pas silencieux" carré d'art-musée, Nîmes
2011
M-Museum Leuven
2011
Museu Colecção Berardo, Lisbonne
Carte blanche aux éditions Urucum , Lyon
15 février - 23 mars 2024
La Ligne Passée, Luxembourg
30 juin - 16 septembre 2012
La Ligne Passée, Luxembourg Art Moderne
30 juin - 15 septembre 2012
Expositions
1990.
Carnets de voyages Fondation Cartier, Jouy en Josas
1992
Documenta IX, Kassel, Allemagne
2003.
Longer Journeys 50e Biennale de Venise
2007.
Fundação Berardo, Lisbonne, Portugal
2010
"L' un après l'autre, quelques pas silencieux" carré d'art-musée, Nîmes
2011
M-Museum Leuven
2011
Museu Colecção Berardo, Lisbonne