Gilles Aillaud
Gilles Aillaud
Né en 1928 à Paris, France
Mort en 2005 à Paris, France
Formation
1948 - 1950
Études de philosophie
Passionné de dessin dès l’enfance, Gilles Aillaud entame dans un premier temps des études de philosophie avant de se tourner vers la peinture en 1949. Son travail se situe d’emblée dans une tradition figurative – notamment en réaction à la pratique de l’abstraction qui domine le champ des arts plastiques à cette époque – et se concentre au cours des années 50 sur la représentation d’oiseaux et de paysages marins.
En 1965, il cosigne avec Eduardo Arroyo et Antonio Recalcati le polyptyque Vivre et laisser mourir ou la Fin tragique de Marcel Duchamp, qui suscitera les plus vives réactions. Dans ces huit tableaux, les peintres se sont représentés en assassins du vieux maître pour s’opposer à un art abstrait ou conceptuel apolitique. Toutefois, il ne s’agit pas pour Gilles Aillaud de remettre en cause l’importance de Marcel Duchamp dans l’Histoire de l’art, mais bien de condamner le nouveau dogmatisme défendu par les artistes de son époque : « Ce n’est pas le père que nous voulons tuer, mais l’ordre que représente le père et par rapport auquel nous cherchions à nous démarquer. C’est pourquoi nous avons dû prendre la figure de délinquants1 ».
Gilles Aillaud s’inscrit dans le mouvement de la Figuration Narrative, officialisé en 1964 lors de l’exposition Mythologies Quotidiennes au Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris. Bien qu’elle partage avec le Pop art une imagerie empruntée à la société de consommation et à la culture de masse, elle s’en distingue par la réhabilitation de la narration (sous la forme de compositions fragmentées, d’une figuration stylisée et en aplat et de l’introduction de séquences dans l’image) et par l’engagement politique dont font souvent preuve les artistes de ce courant. La Figuration Narrative cherche à maintenir continuellement en éveil notre rapport critique aux images.
Les animaux en cage constituent l’essentiel de l’iconographie de l’artiste. Gilles Aillaud s’attache dans ses tableaux à « la relation qu’ils [les animaux] entretiennent avec l’ensemble de la réalité historique dans laquelle ils apparaissent ». L’artiste analyse la relation des animaux à l’espace – factice, artificiel – qu’ils habitent, réfléchissant par là à une déconstruction picturale. Les codes perceptifs d’une époque sont révélateurs de valeurs sociales, politiques et symboliques de la société dans laquelle ils ont été créés ; pour Gilles Aillaud, les remettre en cause c’est faire preuve d’activisme. « Je ne peux absolument pas me servir de la perspective que donne la photographie ; (…) si tu photographies un coin de cet atelier et qu’ensuite tu tires un tableau de la photographie, le spectateur du tableau va se retrouver rejeté plusieurs mètres en arrière de la scène considérée, alors que dans la réalité (…) tu te trouves en son milieu2 ».
La peinture de Gilles Aillaud s’articule autour d’un système perspectiviste complexe, qui vise à immerger le spectateur dans des espaces faussement stabilisés. Elle joue de la multiplication des points de vue pour mener le spectateur à son propre regard. Fidèle à la phénoménologie de Merleau-Ponty (qui compare notamment la peinture de Cézanne à « un ordre naissant, un objet en train d’apparaître3 »), l’artiste cherche à faire de sa peinture un visible capté et figé sur la toile, un moment où le décor figé s’anime par la découverte de la présence animale.
1. Cité par G. Gassiot-Talabot, "Persistent et signent", Opus international, Paris, n°49, mars 1974, p. 100.
2. Jean Clair, "Gilles Aillaud ou le Réalisme critique", L'Art vivant, Paris, n°37, mars 1973, p. 9.
3. Maurice Merleau-Ponty, Sens et non-sens, Paris, Nagel, 1966.
Mort en 2005 à Paris, France
Formation
1948 - 1950
Études de philosophie
Passionné de dessin dès l’enfance, Gilles Aillaud entame dans un premier temps des études de philosophie avant de se tourner vers la peinture en 1949. Son travail se situe d’emblée dans une tradition figurative – notamment en réaction à la pratique de l’abstraction qui domine le champ des arts plastiques à cette époque – et se concentre au cours des années 50 sur la représentation d’oiseaux et de paysages marins.
En 1965, il cosigne avec Eduardo Arroyo et Antonio Recalcati le polyptyque Vivre et laisser mourir ou la Fin tragique de Marcel Duchamp, qui suscitera les plus vives réactions. Dans ces huit tableaux, les peintres se sont représentés en assassins du vieux maître pour s’opposer à un art abstrait ou conceptuel apolitique. Toutefois, il ne s’agit pas pour Gilles Aillaud de remettre en cause l’importance de Marcel Duchamp dans l’Histoire de l’art, mais bien de condamner le nouveau dogmatisme défendu par les artistes de son époque : « Ce n’est pas le père que nous voulons tuer, mais l’ordre que représente le père et par rapport auquel nous cherchions à nous démarquer. C’est pourquoi nous avons dû prendre la figure de délinquants1 ».
Gilles Aillaud s’inscrit dans le mouvement de la Figuration Narrative, officialisé en 1964 lors de l’exposition Mythologies Quotidiennes au Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris. Bien qu’elle partage avec le Pop art une imagerie empruntée à la société de consommation et à la culture de masse, elle s’en distingue par la réhabilitation de la narration (sous la forme de compositions fragmentées, d’une figuration stylisée et en aplat et de l’introduction de séquences dans l’image) et par l’engagement politique dont font souvent preuve les artistes de ce courant. La Figuration Narrative cherche à maintenir continuellement en éveil notre rapport critique aux images.
Les animaux en cage constituent l’essentiel de l’iconographie de l’artiste. Gilles Aillaud s’attache dans ses tableaux à « la relation qu’ils [les animaux] entretiennent avec l’ensemble de la réalité historique dans laquelle ils apparaissent ». L’artiste analyse la relation des animaux à l’espace – factice, artificiel – qu’ils habitent, réfléchissant par là à une déconstruction picturale. Les codes perceptifs d’une époque sont révélateurs de valeurs sociales, politiques et symboliques de la société dans laquelle ils ont été créés ; pour Gilles Aillaud, les remettre en cause c’est faire preuve d’activisme. « Je ne peux absolument pas me servir de la perspective que donne la photographie ; (…) si tu photographies un coin de cet atelier et qu’ensuite tu tires un tableau de la photographie, le spectateur du tableau va se retrouver rejeté plusieurs mètres en arrière de la scène considérée, alors que dans la réalité (…) tu te trouves en son milieu2 ».
La peinture de Gilles Aillaud s’articule autour d’un système perspectiviste complexe, qui vise à immerger le spectateur dans des espaces faussement stabilisés. Elle joue de la multiplication des points de vue pour mener le spectateur à son propre regard. Fidèle à la phénoménologie de Merleau-Ponty (qui compare notamment la peinture de Cézanne à « un ordre naissant, un objet en train d’apparaître3 »), l’artiste cherche à faire de sa peinture un visible capté et figé sur la toile, un moment où le décor figé s’anime par la découverte de la présence animale.
1. Cité par G. Gassiot-Talabot, "Persistent et signent", Opus international, Paris, n°49, mars 1974, p. 100.
2. Jean Clair, "Gilles Aillaud ou le Réalisme critique", L'Art vivant, Paris, n°37, mars 1973, p. 9.
3. Maurice Merleau-Ponty, Sens et non-sens, Paris, Nagel, 1966.
Gilles Aillaud est un des représentants les plus originaux de la Figuration narrative. Connu également comme décorateur de théâtre et d'opéra, Gilles Aillaud a peint beaucoup d'animaux observés dans les zoos. Ces tableaux sont des métaphores de la condition humaine. "Parce qu'ils sont peints, les animaux de Gilles Aillaud parlent des hommes; parce qu'ils sont enfermés ils parlent des hommes aliénés; parce qu'ils ne peuvent pas le dire ils parlent de la liberté." (Michel Sager).
Mais l'artiste s'est illustré également dans la peinture de paysages qui comptent parmi les plus remarquables du XXe siècle.
Quant à la facture des peintures de Gilles Aillaud, "... cela tient à la porosité du détail, à ce fini "de loin", à cette absence de minutie qui permet de comprendre l'ensemble en dehors de ces arrangements de composition dans lesquels le détail peut être relevé à la loupe." (Jean Louis Schefer).
Peintre, poète, décorateur de théâtre, Gilles Aillaud est un artiste polyvalent, philosophe et voyageur. A partir des années 1960, renouant avec la peinture classique, il peint des zoos et des paysages. Il évacue le problème de la perte du sujet, qui taraude toute la peinture du XXe siècle, et travaille sur le motif.
Les scènes de zoo prennent une place centrale dans sa production. Mais la présence de ces bêtes sauvages rendues captives ne se résume pas au thème de l’enfermement. Si Gilles Aillaud choisit de peindre des cages, c’est qu’il s’intéresse à ce qui se donne à voir et aux conditions même de ces visions. Le zoo, avec ses différents espaces, est une espèce de théâtre, dont les acteurs ne savent pas qu’ils jouent.
Toujours à hauteur d’yeux et comme prises sur le vif, ses images dévoilent les dispositifs scéniques inventés par l’homme pour évoquer maladroitement la nature. C’est pourquoi les murs et les grilles prennent autant d’importance que les animaux dans ses tableaux.
Piscine vide appartient aux vues de bassins, très fréquentes dans son œuvre. Les animaux amphibies ont la part belle dans son bestiaire. Vues plongeantes ou strictement frontales, l’eau y est l’élément par excellence, qui permet des jeux de reflets changeants.
Ici, le bassin vide est en cours de nettoyage. Gilles Aillaud nous rappelle qu’au théâtre, quant le décor change, les acteurs changent aussi. L’hippopotame, échoué, n’est plus qu’une masse informe, reléguée au second plan. Le carrelage blanc, l’escalier et le tuyau d’arrosage sont par contre autant de révélateurs de la présence humaine et de l’action qui se déroule à ce moment précis. Ils représentent la face cachée du spectacle. Aillaud peint le monde tel qu’il lui apparaît. Selon lui, les choses parlent d’elles-mêmes, portent en elles leur propre message. Inutile donc d’en tenter une représentation parfaite, mais plutôt chercher à restituer la manière par laquelle elles se révèlent à nous.
G. B.
Gilles Aillaud peint l’énigme que l’animal abrite, recèle dans la consistance de sa chair, parfois massive et compacte, le grain et la couleur de sa peau, la façon qu’elle a de prendre la lumière, la relation que l’animal entretient avec son élément de prédilection – l’eau dans le cas du phoque, de l’hippopotame et des crocodiles, les rochers factices dans le cas de l’ours –, il peint l’étrangeté du lieu où il est assigné à résidence, il l’épure jusqu’à le rendre quasi abstrait, libérant ainsi les potentialités du dessin et de la couleur, et dans cet espace nous sommes confrontés au sommeil, à la somnolence de l’animal, à la manière d’être de chaque animal selon sa complexion dans sa cage ou sa fosse, bref, Gilles Aillaud peint son propre regard, « l’insomnie de la raison » (selon la belle formule de Michel Sager).
Jean Jourdheuil
Aillaud ne déguise pas le rhinocéros en rocher : il donne à voir tout ce que le rhinocéros a, d’emblée, tel qu’il est, du rocher, il peint son espèce de photosensibilité qui le fait tendre, dans la nature, vers la minéralité du rocher (…) Parfois, les enclos représentés sont vides, et l’on n’y voit précisément que des roches : ces tableaux vides de bêtes ne sont pas exactement encore des paysages, mais ils y tendent. De sorte qu’il n’y a pas lieu de placer, dans l’œuvre d’Aillaud, les paysages – de l’île de Skyros, d’Afrique, du Finistère… – en marge des figures d’animaux.
Didier Semin
Je peins des choses, je suis absolument incapable de peindre une idée. Je peins des choses parce que la force des choses me paraît plus forte que toute idée. Pour nier une chose, il faut la détruire, tandis qu’une idée, c’est du vent, on peut toujours fermer l’oreille.
Gilles Aillaud
Mais l'artiste s'est illustré également dans la peinture de paysages qui comptent parmi les plus remarquables du XXe siècle.
Quant à la facture des peintures de Gilles Aillaud, "... cela tient à la porosité du détail, à ce fini "de loin", à cette absence de minutie qui permet de comprendre l'ensemble en dehors de ces arrangements de composition dans lesquels le détail peut être relevé à la loupe." (Jean Louis Schefer).
Peintre, poète, décorateur de théâtre, Gilles Aillaud est un artiste polyvalent, philosophe et voyageur. A partir des années 1960, renouant avec la peinture classique, il peint des zoos et des paysages. Il évacue le problème de la perte du sujet, qui taraude toute la peinture du XXe siècle, et travaille sur le motif.
Les scènes de zoo prennent une place centrale dans sa production. Mais la présence de ces bêtes sauvages rendues captives ne se résume pas au thème de l’enfermement. Si Gilles Aillaud choisit de peindre des cages, c’est qu’il s’intéresse à ce qui se donne à voir et aux conditions même de ces visions. Le zoo, avec ses différents espaces, est une espèce de théâtre, dont les acteurs ne savent pas qu’ils jouent.
Toujours à hauteur d’yeux et comme prises sur le vif, ses images dévoilent les dispositifs scéniques inventés par l’homme pour évoquer maladroitement la nature. C’est pourquoi les murs et les grilles prennent autant d’importance que les animaux dans ses tableaux.
Piscine vide appartient aux vues de bassins, très fréquentes dans son œuvre. Les animaux amphibies ont la part belle dans son bestiaire. Vues plongeantes ou strictement frontales, l’eau y est l’élément par excellence, qui permet des jeux de reflets changeants.
Ici, le bassin vide est en cours de nettoyage. Gilles Aillaud nous rappelle qu’au théâtre, quant le décor change, les acteurs changent aussi. L’hippopotame, échoué, n’est plus qu’une masse informe, reléguée au second plan. Le carrelage blanc, l’escalier et le tuyau d’arrosage sont par contre autant de révélateurs de la présence humaine et de l’action qui se déroule à ce moment précis. Ils représentent la face cachée du spectacle. Aillaud peint le monde tel qu’il lui apparaît. Selon lui, les choses parlent d’elles-mêmes, portent en elles leur propre message. Inutile donc d’en tenter une représentation parfaite, mais plutôt chercher à restituer la manière par laquelle elles se révèlent à nous.
G. B.
Gilles Aillaud peint l’énigme que l’animal abrite, recèle dans la consistance de sa chair, parfois massive et compacte, le grain et la couleur de sa peau, la façon qu’elle a de prendre la lumière, la relation que l’animal entretient avec son élément de prédilection – l’eau dans le cas du phoque, de l’hippopotame et des crocodiles, les rochers factices dans le cas de l’ours –, il peint l’étrangeté du lieu où il est assigné à résidence, il l’épure jusqu’à le rendre quasi abstrait, libérant ainsi les potentialités du dessin et de la couleur, et dans cet espace nous sommes confrontés au sommeil, à la somnolence de l’animal, à la manière d’être de chaque animal selon sa complexion dans sa cage ou sa fosse, bref, Gilles Aillaud peint son propre regard, « l’insomnie de la raison » (selon la belle formule de Michel Sager).
Jean Jourdheuil
Aillaud ne déguise pas le rhinocéros en rocher : il donne à voir tout ce que le rhinocéros a, d’emblée, tel qu’il est, du rocher, il peint son espèce de photosensibilité qui le fait tendre, dans la nature, vers la minéralité du rocher (…) Parfois, les enclos représentés sont vides, et l’on n’y voit précisément que des roches : ces tableaux vides de bêtes ne sont pas exactement encore des paysages, mais ils y tendent. De sorte qu’il n’y a pas lieu de placer, dans l’œuvre d’Aillaud, les paysages – de l’île de Skyros, d’Afrique, du Finistère… – en marge des figures d’animaux.
Didier Semin
Je peins des choses, je suis absolument incapable de peindre une idée. Je peins des choses parce que la force des choses me paraît plus forte que toute idée. Pour nier une chose, il faut la détruire, tandis qu’une idée, c’est du vent, on peut toujours fermer l’oreille.
Gilles Aillaud
Expositions de groupe à la galerie
Septet , Paris
16 décembre 2020 - 13 février 2021
Animaux : oeuvres intimes, Paris
15 décembre 2016 - 04 février 2017
Expostions personnelles
2018
Gilles Aillaud, Papiers 1949-2003, Villa Tamaris, La Seyne-sur-Mer, France
2016
Tableaux 1966 - 1976, Galerie Loevenbruck, Paris, France
Vols d'oiseaux 1990 - 2001, Le Studiolo - Galerie de France, Paris, France
2015
Gilles Aillaud, FRAC Auvergne, Clermont-Ferrand, France
Gilles Aillaud, Musée Estrine , Saint Rémy de Provence, France
Gilles Aillaud, Musée des Beaux-Arts de Rennes, Rennes, France
2010
Voir sans être vu, Médiathèque, Galerie du Faouëdic, Lorient, France
Encyclopédie de tous les animaux y compris les minéraux, BNF, Paris, France
2007
Gilles Aillaud - Evasioni, Villa Médicis, Rome, Italie
2005
De la toile à la scène. Gilles Aillaud, Centrale Montemartini, Rome, Italie
Gilles Aillaud, une monographie, Galerie de France, Paris, France
Gilles Aillaud, Musée national d'Histoire et d'Art du grand-duché de Luxembourg, Luxembourg
Gilles Aillaud, Musée des Beaux-Arts de Rennes, Rennes, France
Gilles Aillaud, Malerei, Tiere in Gefangenschaft , Kunsthalle Villa Kobe, Halle, Allemagne
2004
Encyclopédie de tous les animaux y compris les minéraux, Galerie Pictura, Centre culturel, Cesson-Sévigné, France
Gilles Aillaud, Musée-site Buffon, Montbard, France
Gilles Aillaud, Médiathèque François Mitterrand, Centre Culturel d'Argentan, France
2002
Décor pour Le Retour d'Ulysse dans sa patrie de Monteverdi, mise en scène de K.M. Grüber, Zürich, Suisse
2001
Gilles Aillaud, la jungle des villes, Les Cordeliers, Châteauroux, France
Gilles Aillaud, la jungle des villes, Salle du quai Antoine 1er, Monaco
Gilles Aillaud, du pareil au même, peinture 1967 - 2000, Galerie de France, Paris, France
2000
Décors de Au but de Thomas Bernhard, mise en scène de Marie-Louise Bischofberger, Théâtre Vidy, Lausanne, Suisse
1999
Décors du Couronnement de Popée, mise en scène de Klaus Michael Grüber, Festival d'Aix-en-Provence, France
Décors de En attendant Godot, mise en scène de Luc Bondy, Théatre Vidy, Lausanne, Suisse ; Théatre de l'Odéon, Paris, France
1998
Gilles Aillaud, le proche et le lointain, Institut Central des Beaux-Arts, Pékin, Chine
Gilles Aillaud, Maison des Arts, Malakoff, France
Décors de Iphigenie auf Tauris de Goethe, mise en scène Klaus Michael Grüber, Schaubühne, Berlin, Allemagne
1997
Gilles Aillaud, Centre d'art contemporain, Istres, France
Gilles Aillaud, Caisse d'Épargne Écureuil, Marseille, France
Gilles Aillaud, la clarté du jour ordinaire ?, Galerie de France, Paris, France
1995
Gilles Aillaud, Mers, Quartz, Brest, France
Décors de Wolfgang Amadeus Mozart, 1756-1791, Idomeneo, Théatre Royal de la Monnaie, Bruxelles, Belgique
Décors de L'Illusionniste et Faisons un rêve de Sacha Guitry, mise en scène Luc Bondy, Schaubühne, Berlin
1994
Gilles Aillaud, peintures, aquarelles, dessins 1955 - 1991, Centre Culturel - Salle Jean Hélion, Issoire, France
Décors de L'Heure où nous ne savions rien l'un de l'autre de Peter Handke, mise en scène de Luc Bondy, Schaubühne, Berlin, Allemagne ; Théâtre du Châtelet, Paris, France
1992
Gilles Aillaud, Eaux, Flaques et Gouttes, Centre d'art contemporain, Orléans, France
1991
Gilles Aillaud, dessins, brouillons, projets, envies 1949 - 1991, Galerie de France, Paris, France
Encyclopédie de tous les animaux y compris les minéraux, I, II et III, Galerie de France, Paris, France
Gilles Aillaud, Musée national Reina Sofia, Madrid, Espagne
Décors de Quartett de Heiner Müller, mise en scène de Jean Jourdheuil et Jean-François Peyret, Théâtre de l'Odéon, Paris, France
Décors de Hypérion de Maderna, mise en scène de Klaus Michael Grüber, Opéra Comique, Paris, France
Décors de Amphitryon de Kleist, mise en scène de Klaus Michael Grüber, Berlin, Allemagne
Décors de Rumeur à Wallstreet, d'après Melville, mise en scène Bérengère Bonvoisin, Théâtre des Amandiers, Nanterre, France
Décors de Catherine de Sienne d'après Lenz, mise en scène de Klaus Michael Grüber, Schaubühne, Berlin, Allemagne
1990
Gilles Aillaud, Centre d'art, Flaine, France
Décors de Parsifal de Wagner, mise en scène de Klaus Michael Grüber, Opéra d'Amsterdam, Pays-Bas
1989
Gilles Aillaud, Galerie Gamarra y Garrigues, Madrid, Espagne
Décors des Sonnets de Shakespeare, mise en scène Jean Jourdheuil, Théâtre de la Bastille, Paris, France
1988
Gilles Aillaud, Marée Basse, Galerie de l'Hôtel de Ville, Villeurbanne, France
Décors de Medesima Strada, Piccolo Studio, Milan, Italie
1987
Gilles Aillaud, Galerie de France, Paris, France
Gilles Aillaud, Galerie du Jour, Paris, France
Décors de Pionniers à Ingolstadt de Marie-Louise Fleisser, mise en scène de Bérangère Bonvoisin, Festival d'Automne, Théâtre des Amandiers, Nanterre, France
1986
Décors pour Bantam d'Eduardo Arroyo (avec Antonio Recalcati), mise en scène de Klaus Michael Grüber, Münich, Allemagne
1985
Gilles Aillaud, Galerie Sonia Zannettacci, Genève, Suisse
Décors du Roi Lear de Shakespeare, mise en scène de Klaus Michael Grüber, Schaubühne, Berlin, Allemagne
1984
La Réalité et son ombre, Galerie de Séoul, Corée du Sud
Gilles Aillaud, Maison de la Culture, Grenoble, France
Décors de Sur la Grand'route, de Tchekhov, mise en scène de Klaus Michael Grüber, Schaubühne, Berlin, Allemagne
Décors de Bérénice de Racine, mise en scène de Klaus Michael Grüber, Comédie Française, Paris, France
1983
Gilles Aillaud, Galerie du 7, Paris, France
Décors pour Coriolan, de Shakespeare (avec Titina Maselli) mise en scène de Bernard Sobel, Gennevilliers, France
Décors pour L'Allemagne de Heiner Müller, mise en scène de Jean Jourdheuil et Jean-François Peyret, Petit Odéon, Paris, France
1982
Gilles Aillaud, Galerie Karl Flinker, Paris, France
Gilles Aillaud, ICA, Londres, Royaume-Uni
Gilles Aillaud, Galeria Barbara Gladstone, New York, Etats-Unis
Décors de Faust de Goethe, mise en scène de Klaus Michael Grüber, Schaubühne Berlin, Allemagne
Décors de Le Rocher, la lande, la librairie, d'après Montaigne spectacle de Jean Jourdheuil et Jean-François Peyret Théâtre d'Aubervilliers, France
Décors de Hamlet de Shakespeare, mise en scène de Klaus Michael Grüber, Schaubühne, Berlin, Allemagne
1981
Gilles Aillaud, Maison de la Culture, Saint-Étienne, France
1980
Gilles Aillaud, le proche et le lointain, A.R.C., Musée d'Art moderne de la Ville de Paris, France
1979
Décors Hamlet-Machine de Heiner Müller, mise en scène de Jean Jourdheuil, Saint Denis, France
1978
Gilles Aillaud, Galerie Karl Flinker, Paris, France
1977
Gilles Aillaud, Galleria II Fante di Spade, Rome, Italie
1975
Décors de Faust, d'après Goethe (avec Arroyo), mise en scène de Klaus Michael Grüber, Chapelle Saint Louis de la Salpêtrière, Paris, France
1974
Gilles Aillaud, Galerie Claude Bernard, Paris, France
Décors de Les Bacchantes d'Euripide, mise en scène de Klaus Michael Grüber, Schaubühne, Berlin, Allemagne
1972
Gilles Aillaud, Galleria Il Fante di Spade, Rome, Italie
Décors et costumes de Dans la jungle des Villes de Bertolt Brecht, mise en scène de Jean Jourdheuil, Avignon, Paris
1971
Gilles Aillaud, Società Promotrice Belle Arti, Turin, Italie
Gilles Aillaud, A.R.C., Musée d'Art moderne de la Ville de Paris, France
1969
Galleria Il Fante di Spade, Rome, Italie
1968
Gilles Aillaud, Galleria de Foscherari, Bologne, Italie
1967
Gilles Aillaud, Galleria Il Fante di Spade, Rome, Italie
1966
Gilles Aillaud, Galerie du Dragon, Paris, France
1963
Gilles Aillaud, Galerie Claude Levin, Paris, France
1952
Gilles Aillaud, Galerie Niepce, Paris, France
1950
avec Fabio Rieti, Galleria dell'Obelisco, Rome, Italie
Expositions collectives
2016
Animaux : œuvres intimes, Galerie Bernard Ceysson, Paris, France
2013
Dialogues de bêtes, Centre Culturel Aragon, Oyonnax, France
2010
Peintres et paysages en Saintonge, Musée de la ville de Saintes, France
Le visible et le caché, Musée de la chasse, Paris, France
2009
Deadline, Musée d'Art moderne de la Ville de Paris, Paris, France
2006
Zoo, La Centrale électrique - Centre européen pour l'art contemporain, Bruxelles, Belgique
2004
El Paisaje en el siglo XXè, Centro de Exposiciones y Congresos de Ibercaja, Saragosse, Espagne
2003
Animal et territoire, Orangerie du Luxembourg, Sénat, Paris, France
Champs libres : zoo exquis, Château du Grand Jardin de Joinville, Joinville, France
2002
L'art d'être bête, l'animal dans l'art de Goya à nos jours, Hôtel de ville, Aulnay-sous-Bois, France
2001
Gilles Aillaud et Laurence Aillaud, retour en Ubaye, Musée de la Vallée, Barcelonette, France
2000
Ce sont les pommes qui ont changé, École nationale des Beaux-Arts de Paris, Paris, France
Animal Figuré, Fondation Guerlain, Les Mesnuls, France
1999
Primitive Passion, 12 peintres contemporains, Palais des Papes, Avignon, France
1993
Humanités animales, Musée Henri-Martin, Cahors, France
1992
FIAC 1992, stand Galerie de France
Paysages de la savane, Vues du Kilimandjaro, Bancs de sable et Marées basses, Galerie de Séoul, Corée du Sud
Salon d'art contemporain de Montrouge, Montrouge, France
Sur proposition de Buraglio, Centre d'Art Contemporain, Orléans, France
Le Portrait dans l'art contemporain, MAMAC, Nice, France
1991
Exposition universelle, pavillon français, Séville, Espagne
Autour de la figuration narrative, Galerie de l'Assemblée Nationale, Palais Bourbon, Paris, France
Chats à Chatillon, Pavillon des Sablons, Chatillon, France
1990
Um 1968 Konkrete Utopien in Kunst und Gesellschaft, Städtische Kunsthalle, Düsseldorf, Allemagne
1987
G. Aillaud, E. Arroyo et le théâtre, Grande Chapelle du Palais des Papes, Avignon, France
Les Éléphants sont parmi nous, Musée de Dieppe, France
1985
Dissonances (Aillaud, Mathieu, Rougemont, Toroni), Le Méjan, Arles, France
1982
Panorama de l'art français, Palais Liechtenstein, Vienne, Autriche
1981
Fransk Konst 37 Aktuella Konstnärer, Musée Liljevachs, Stockholm, Suède
1980
Neue Tendenzen der Malerei in Frankreich, Graz, Autriche
1979
Tendances de l'art en France 1968 - 1979, A.R.C., Musée d'Art moderne de la Ville de Paris, France
1977
Mythologies quotidiennes II, A.R.C., Musée d'Art moderne de la Ville de Paris, France
1976
Biennale de Venise, Italie
06 Art 76, Berkeley, Purchase, Houston, Etats-Unis
1975
Realismus+Realität, Kunsthalle, Darmstadt, Allemagne
1974
Hyperréalistes américains et réalistes européens, exposition itinérante : Paris, France ; Milan, Italie ; Rotterdam, Pays Bas ; Hanovre, Allemagne
Ars 74, Museum Ateneum, Helsinki, Finlande
New Image in Painting, Tokyo, Biennale 74, Japon
1969
Police et Culture, Musée d'Art moderne de la Ville de Paris, France
1968
Painting in France 1900-1967, États-Unis
Participe à la création de l'atelier d'af ches des Beaux-Arts (Atelier populaire), Salle rouge pour le Vietnam, A.R.C., Musée d'Art moderne de la ville de Paris, France
1967
Salon de Mai, La Havane, Cuba
Sala Mendoza, Caracas, Venezuela
1965
Salon de Mai, Vivre et laisser mourir ou la vie tragique de Marcel Duchamp avec Arroyo et Recalait, oeuvre collective exposée à la Galerie Creuze, Paris, France
Une Passion dans le désert, Galerie Saint Germain, Paris, France
1959
Salon de la Jeune Peinture - Obtention de la bourse Félix-Fénéon, Paris, France
Septet , Paris
16 décembre 2020 - 13 février 2021
Animaux : oeuvres intimes, Paris
15 décembre 2016 - 04 février 2017
Expostions personnelles
2018
Gilles Aillaud, Papiers 1949-2003, Villa Tamaris, La Seyne-sur-Mer, France
2016
Tableaux 1966 - 1976, Galerie Loevenbruck, Paris, France
Vols d'oiseaux 1990 - 2001, Le Studiolo - Galerie de France, Paris, France
2015
Gilles Aillaud, FRAC Auvergne, Clermont-Ferrand, France
Gilles Aillaud, Musée Estrine , Saint Rémy de Provence, France
Gilles Aillaud, Musée des Beaux-Arts de Rennes, Rennes, France
2010
Voir sans être vu, Médiathèque, Galerie du Faouëdic, Lorient, France
Encyclopédie de tous les animaux y compris les minéraux, BNF, Paris, France
2007
Gilles Aillaud - Evasioni, Villa Médicis, Rome, Italie
2005
De la toile à la scène. Gilles Aillaud, Centrale Montemartini, Rome, Italie
Gilles Aillaud, une monographie, Galerie de France, Paris, France
Gilles Aillaud, Musée national d'Histoire et d'Art du grand-duché de Luxembourg, Luxembourg
Gilles Aillaud, Musée des Beaux-Arts de Rennes, Rennes, France
Gilles Aillaud, Malerei, Tiere in Gefangenschaft , Kunsthalle Villa Kobe, Halle, Allemagne
2004
Encyclopédie de tous les animaux y compris les minéraux, Galerie Pictura, Centre culturel, Cesson-Sévigné, France
Gilles Aillaud, Musée-site Buffon, Montbard, France
Gilles Aillaud, Médiathèque François Mitterrand, Centre Culturel d'Argentan, France
2002
Décor pour Le Retour d'Ulysse dans sa patrie de Monteverdi, mise en scène de K.M. Grüber, Zürich, Suisse
2001
Gilles Aillaud, la jungle des villes, Les Cordeliers, Châteauroux, France
Gilles Aillaud, la jungle des villes, Salle du quai Antoine 1er, Monaco
Gilles Aillaud, du pareil au même, peinture 1967 - 2000, Galerie de France, Paris, France
2000
Décors de Au but de Thomas Bernhard, mise en scène de Marie-Louise Bischofberger, Théâtre Vidy, Lausanne, Suisse
1999
Décors du Couronnement de Popée, mise en scène de Klaus Michael Grüber, Festival d'Aix-en-Provence, France
Décors de En attendant Godot, mise en scène de Luc Bondy, Théatre Vidy, Lausanne, Suisse ; Théatre de l'Odéon, Paris, France
1998
Gilles Aillaud, le proche et le lointain, Institut Central des Beaux-Arts, Pékin, Chine
Gilles Aillaud, Maison des Arts, Malakoff, France
Décors de Iphigenie auf Tauris de Goethe, mise en scène Klaus Michael Grüber, Schaubühne, Berlin, Allemagne
1997
Gilles Aillaud, Centre d'art contemporain, Istres, France
Gilles Aillaud, Caisse d'Épargne Écureuil, Marseille, France
Gilles Aillaud, la clarté du jour ordinaire ?, Galerie de France, Paris, France
1995
Gilles Aillaud, Mers, Quartz, Brest, France
Décors de Wolfgang Amadeus Mozart, 1756-1791, Idomeneo, Théatre Royal de la Monnaie, Bruxelles, Belgique
Décors de L'Illusionniste et Faisons un rêve de Sacha Guitry, mise en scène Luc Bondy, Schaubühne, Berlin
1994
Gilles Aillaud, peintures, aquarelles, dessins 1955 - 1991, Centre Culturel - Salle Jean Hélion, Issoire, France
Décors de L'Heure où nous ne savions rien l'un de l'autre de Peter Handke, mise en scène de Luc Bondy, Schaubühne, Berlin, Allemagne ; Théâtre du Châtelet, Paris, France
1992
Gilles Aillaud, Eaux, Flaques et Gouttes, Centre d'art contemporain, Orléans, France
1991
Gilles Aillaud, dessins, brouillons, projets, envies 1949 - 1991, Galerie de France, Paris, France
Encyclopédie de tous les animaux y compris les minéraux, I, II et III, Galerie de France, Paris, France
Gilles Aillaud, Musée national Reina Sofia, Madrid, Espagne
Décors de Quartett de Heiner Müller, mise en scène de Jean Jourdheuil et Jean-François Peyret, Théâtre de l'Odéon, Paris, France
Décors de Hypérion de Maderna, mise en scène de Klaus Michael Grüber, Opéra Comique, Paris, France
Décors de Amphitryon de Kleist, mise en scène de Klaus Michael Grüber, Berlin, Allemagne
Décors de Rumeur à Wallstreet, d'après Melville, mise en scène Bérengère Bonvoisin, Théâtre des Amandiers, Nanterre, France
Décors de Catherine de Sienne d'après Lenz, mise en scène de Klaus Michael Grüber, Schaubühne, Berlin, Allemagne
1990
Gilles Aillaud, Centre d'art, Flaine, France
Décors de Parsifal de Wagner, mise en scène de Klaus Michael Grüber, Opéra d'Amsterdam, Pays-Bas
1989
Gilles Aillaud, Galerie Gamarra y Garrigues, Madrid, Espagne
Décors des Sonnets de Shakespeare, mise en scène Jean Jourdheuil, Théâtre de la Bastille, Paris, France
1988
Gilles Aillaud, Marée Basse, Galerie de l'Hôtel de Ville, Villeurbanne, France
Décors de Medesima Strada, Piccolo Studio, Milan, Italie
1987
Gilles Aillaud, Galerie de France, Paris, France
Gilles Aillaud, Galerie du Jour, Paris, France
Décors de Pionniers à Ingolstadt de Marie-Louise Fleisser, mise en scène de Bérangère Bonvoisin, Festival d'Automne, Théâtre des Amandiers, Nanterre, France
1986
Décors pour Bantam d'Eduardo Arroyo (avec Antonio Recalcati), mise en scène de Klaus Michael Grüber, Münich, Allemagne
1985
Gilles Aillaud, Galerie Sonia Zannettacci, Genève, Suisse
Décors du Roi Lear de Shakespeare, mise en scène de Klaus Michael Grüber, Schaubühne, Berlin, Allemagne
1984
La Réalité et son ombre, Galerie de Séoul, Corée du Sud
Gilles Aillaud, Maison de la Culture, Grenoble, France
Décors de Sur la Grand'route, de Tchekhov, mise en scène de Klaus Michael Grüber, Schaubühne, Berlin, Allemagne
Décors de Bérénice de Racine, mise en scène de Klaus Michael Grüber, Comédie Française, Paris, France
1983
Gilles Aillaud, Galerie du 7, Paris, France
Décors pour Coriolan, de Shakespeare (avec Titina Maselli) mise en scène de Bernard Sobel, Gennevilliers, France
Décors pour L'Allemagne de Heiner Müller, mise en scène de Jean Jourdheuil et Jean-François Peyret, Petit Odéon, Paris, France
1982
Gilles Aillaud, Galerie Karl Flinker, Paris, France
Gilles Aillaud, ICA, Londres, Royaume-Uni
Gilles Aillaud, Galeria Barbara Gladstone, New York, Etats-Unis
Décors de Faust de Goethe, mise en scène de Klaus Michael Grüber, Schaubühne Berlin, Allemagne
Décors de Le Rocher, la lande, la librairie, d'après Montaigne spectacle de Jean Jourdheuil et Jean-François Peyret Théâtre d'Aubervilliers, France
Décors de Hamlet de Shakespeare, mise en scène de Klaus Michael Grüber, Schaubühne, Berlin, Allemagne
1981
Gilles Aillaud, Maison de la Culture, Saint-Étienne, France
1980
Gilles Aillaud, le proche et le lointain, A.R.C., Musée d'Art moderne de la Ville de Paris, France
1979
Décors Hamlet-Machine de Heiner Müller, mise en scène de Jean Jourdheuil, Saint Denis, France
1978
Gilles Aillaud, Galerie Karl Flinker, Paris, France
1977
Gilles Aillaud, Galleria II Fante di Spade, Rome, Italie
1975
Décors de Faust, d'après Goethe (avec Arroyo), mise en scène de Klaus Michael Grüber, Chapelle Saint Louis de la Salpêtrière, Paris, France
1974
Gilles Aillaud, Galerie Claude Bernard, Paris, France
Décors de Les Bacchantes d'Euripide, mise en scène de Klaus Michael Grüber, Schaubühne, Berlin, Allemagne
1972
Gilles Aillaud, Galleria Il Fante di Spade, Rome, Italie
Décors et costumes de Dans la jungle des Villes de Bertolt Brecht, mise en scène de Jean Jourdheuil, Avignon, Paris
1971
Gilles Aillaud, Società Promotrice Belle Arti, Turin, Italie
Gilles Aillaud, A.R.C., Musée d'Art moderne de la Ville de Paris, France
1969
Galleria Il Fante di Spade, Rome, Italie
1968
Gilles Aillaud, Galleria de Foscherari, Bologne, Italie
1967
Gilles Aillaud, Galleria Il Fante di Spade, Rome, Italie
1966
Gilles Aillaud, Galerie du Dragon, Paris, France
1963
Gilles Aillaud, Galerie Claude Levin, Paris, France
1952
Gilles Aillaud, Galerie Niepce, Paris, France
1950
avec Fabio Rieti, Galleria dell'Obelisco, Rome, Italie
Expositions collectives
2016
Animaux : œuvres intimes, Galerie Bernard Ceysson, Paris, France
2013
Dialogues de bêtes, Centre Culturel Aragon, Oyonnax, France
2010
Peintres et paysages en Saintonge, Musée de la ville de Saintes, France
Le visible et le caché, Musée de la chasse, Paris, France
2009
Deadline, Musée d'Art moderne de la Ville de Paris, Paris, France
2006
Zoo, La Centrale électrique - Centre européen pour l'art contemporain, Bruxelles, Belgique
2004
El Paisaje en el siglo XXè, Centro de Exposiciones y Congresos de Ibercaja, Saragosse, Espagne
2003
Animal et territoire, Orangerie du Luxembourg, Sénat, Paris, France
Champs libres : zoo exquis, Château du Grand Jardin de Joinville, Joinville, France
2002
L'art d'être bête, l'animal dans l'art de Goya à nos jours, Hôtel de ville, Aulnay-sous-Bois, France
2001
Gilles Aillaud et Laurence Aillaud, retour en Ubaye, Musée de la Vallée, Barcelonette, France
2000
Ce sont les pommes qui ont changé, École nationale des Beaux-Arts de Paris, Paris, France
Animal Figuré, Fondation Guerlain, Les Mesnuls, France
1999
Primitive Passion, 12 peintres contemporains, Palais des Papes, Avignon, France
1993
Humanités animales, Musée Henri-Martin, Cahors, France
1992
FIAC 1992, stand Galerie de France
Paysages de la savane, Vues du Kilimandjaro, Bancs de sable et Marées basses, Galerie de Séoul, Corée du Sud
Salon d'art contemporain de Montrouge, Montrouge, France
Sur proposition de Buraglio, Centre d'Art Contemporain, Orléans, France
Le Portrait dans l'art contemporain, MAMAC, Nice, France
1991
Exposition universelle, pavillon français, Séville, Espagne
Autour de la figuration narrative, Galerie de l'Assemblée Nationale, Palais Bourbon, Paris, France
Chats à Chatillon, Pavillon des Sablons, Chatillon, France
1990
Um 1968 Konkrete Utopien in Kunst und Gesellschaft, Städtische Kunsthalle, Düsseldorf, Allemagne
1987
G. Aillaud, E. Arroyo et le théâtre, Grande Chapelle du Palais des Papes, Avignon, France
Les Éléphants sont parmi nous, Musée de Dieppe, France
1985
Dissonances (Aillaud, Mathieu, Rougemont, Toroni), Le Méjan, Arles, France
1982
Panorama de l'art français, Palais Liechtenstein, Vienne, Autriche
1981
Fransk Konst 37 Aktuella Konstnärer, Musée Liljevachs, Stockholm, Suède
1980
Neue Tendenzen der Malerei in Frankreich, Graz, Autriche
1979
Tendances de l'art en France 1968 - 1979, A.R.C., Musée d'Art moderne de la Ville de Paris, France
1977
Mythologies quotidiennes II, A.R.C., Musée d'Art moderne de la Ville de Paris, France
1976
Biennale de Venise, Italie
06 Art 76, Berkeley, Purchase, Houston, Etats-Unis
1975
Realismus+Realität, Kunsthalle, Darmstadt, Allemagne
1974
Hyperréalistes américains et réalistes européens, exposition itinérante : Paris, France ; Milan, Italie ; Rotterdam, Pays Bas ; Hanovre, Allemagne
Ars 74, Museum Ateneum, Helsinki, Finlande
New Image in Painting, Tokyo, Biennale 74, Japon
1969
Police et Culture, Musée d'Art moderne de la Ville de Paris, France
1968
Painting in France 1900-1967, États-Unis
Participe à la création de l'atelier d'af ches des Beaux-Arts (Atelier populaire), Salle rouge pour le Vietnam, A.R.C., Musée d'Art moderne de la ville de Paris, France
1967
Salon de Mai, La Havane, Cuba
Sala Mendoza, Caracas, Venezuela
1965
Salon de Mai, Vivre et laisser mourir ou la vie tragique de Marcel Duchamp avec Arroyo et Recalait, oeuvre collective exposée à la Galerie Creuze, Paris, France
Une Passion dans le désert, Galerie Saint Germain, Paris, France
1959
Salon de la Jeune Peinture - Obtention de la bourse Félix-Fénéon, Paris, France
Bibliographie
2015
Gilles Aillaud, Jean Jourdheuil, Didier Semin, Éric Suchère, Somogy, Paris, France
2010
D'après nature : encyclopédie de tous les animaux y compris les minéraux, Jean-Christophe Bailly, Franck Bordas et Hanns Zischler, André Dimanche, Marseille, France
2009
Le visible est le caché, Jean-Christophe Bailly, Gallimard, Paris, France
Deadline, Musée d'Art moderne de la Ville de Paris, Paris-Musées, Paris, France
2007
Gilles Aillaud, Philippe Dagen, Luc Bondy, Pierre Buraglio, Villa Médicis, Rome, Hazan, Paris, France
2005
Gilles Aillaud, rétrospective, Jean-Christophe Bailly, André Dimanche, Marseille, France
2004
Épiphanies de la séparation : la peinture de Gilles Aillaud, Michel Onfray, Galilée, Paris, France
2002
Un théâtre du regard, Gilles Aillaud, le refus du pathos, Jean Jourdheuil, Christian Bourgeois, Paris, France
2001
Gilles Aillaud, la jungle des villes, Cécile Debray, Martine Fresia, Didier Ottinger, Actes Sud, Arles, France
Gilles Aillaud, Nicolas Pesquès, André Dimanche, Marseille, France
2000
Ce sont les pommes qui ont changé, École nationale supérieure des beaux-arts, Paris
Primitive Passion, 12 peintres contemporains, Palais des Papes, Avignon, France
1998
Aillaud, le proche et le lointain, Pierre Morel, Galerie de France, Paris, France
1997
Gilles Aillaud, Itzhak Goldberg, Centre d'art contemporain, Istres, France
1994
Gilles Aillaud, peintures, aquarelles, dessins, Nicolas Pesquès, Centre culturel, Issoire, France
Le territoire de Gilles Aillaud, Jean-Christophe Bailly, Galerie de Séoul, Corée-du-Sud
1991
Gilles Aillaud, dessins, brouillons, projets, envies 1949-1991, Éditions du Regard et Galerie de France, Paris, France
1989
Encyclopédie de tous les animaux, y compris les minéraux, Ateliers Franck Bordas, Paris Mine de rien, Jean-Christophe Bailly, Galerie de France, Paris, France
1988
Gilles Aillaud, Éditions Gamarra y Garrigues, Madrid, Espagne
Gilles Aillaud, Jean-Christophe Bailly, Galerie de l'Hôtel de Ville
Gilles Aillaud, Jean-Louis Schefer, Hazan, Paris, France
Aillaud par Obalk, Galerie de France, Paris, France
1971
L'insomnie de la raison, Michel Sager, A.R.C., Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris (repris lors de l'exposition à la Societa Promotrice Belle Arti, Turin), Paris
1970
Kunst und Politik, Kunst und Museumsverein, G. Bussmann, R. Kudielka, G. Gassiot-Ta- labot, Wuppertal, Allemagne
1968
Gilles Aillaud, Renato Barilli, Galleria de Foscherari, Bologne, Italie
Salle rouge pour le Vietnam, A.R.C. Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris, France
1967
Aillaud, figuration et naturalisme, Vitaliano Corbi, Galleria Il Fante di Spade, Rome (repris lors de l'exposition à la sala Mendoza, Caracas la même année), Italie
1966
Gilles Aillaud, Max Clarac Serou, Galerie du Dragon, Paris, France
1965
Une passion dans le désert, Daniel Anselme, Galerie Saint-Germain, Paris, France
1963
Gilles Aillaud, Colette Audry, René de Solier, Galerie Claude Levin, Paris, France
2015
Gilles Aillaud, Jean Jourdheuil, Didier Semin, Éric Suchère, Somogy, Paris, France
2010
D'après nature : encyclopédie de tous les animaux y compris les minéraux, Jean-Christophe Bailly, Franck Bordas et Hanns Zischler, André Dimanche, Marseille, France
2009
Le visible est le caché, Jean-Christophe Bailly, Gallimard, Paris, France
Deadline, Musée d'Art moderne de la Ville de Paris, Paris-Musées, Paris, France
2007
Gilles Aillaud, Philippe Dagen, Luc Bondy, Pierre Buraglio, Villa Médicis, Rome, Hazan, Paris, France
2005
Gilles Aillaud, rétrospective, Jean-Christophe Bailly, André Dimanche, Marseille, France
2004
Épiphanies de la séparation : la peinture de Gilles Aillaud, Michel Onfray, Galilée, Paris, France
2002
Un théâtre du regard, Gilles Aillaud, le refus du pathos, Jean Jourdheuil, Christian Bourgeois, Paris, France
2001
Gilles Aillaud, la jungle des villes, Cécile Debray, Martine Fresia, Didier Ottinger, Actes Sud, Arles, France
Gilles Aillaud, Nicolas Pesquès, André Dimanche, Marseille, France
2000
Ce sont les pommes qui ont changé, École nationale supérieure des beaux-arts, Paris
Primitive Passion, 12 peintres contemporains, Palais des Papes, Avignon, France
1998
Aillaud, le proche et le lointain, Pierre Morel, Galerie de France, Paris, France
1997
Gilles Aillaud, Itzhak Goldberg, Centre d'art contemporain, Istres, France
1994
Gilles Aillaud, peintures, aquarelles, dessins, Nicolas Pesquès, Centre culturel, Issoire, France
Le territoire de Gilles Aillaud, Jean-Christophe Bailly, Galerie de Séoul, Corée-du-Sud
1991
Gilles Aillaud, dessins, brouillons, projets, envies 1949-1991, Éditions du Regard et Galerie de France, Paris, France
1989
Encyclopédie de tous les animaux, y compris les minéraux, Ateliers Franck Bordas, Paris Mine de rien, Jean-Christophe Bailly, Galerie de France, Paris, France
1988
Gilles Aillaud, Éditions Gamarra y Garrigues, Madrid, Espagne
Gilles Aillaud, Jean-Christophe Bailly, Galerie de l'Hôtel de Ville
Gilles Aillaud, Jean-Louis Schefer, Hazan, Paris, France
Aillaud par Obalk, Galerie de France, Paris, France
1971
L'insomnie de la raison, Michel Sager, A.R.C., Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris (repris lors de l'exposition à la Societa Promotrice Belle Arti, Turin), Paris
1970
Kunst und Politik, Kunst und Museumsverein, G. Bussmann, R. Kudielka, G. Gassiot-Ta- labot, Wuppertal, Allemagne
1968
Gilles Aillaud, Renato Barilli, Galleria de Foscherari, Bologne, Italie
Salle rouge pour le Vietnam, A.R.C. Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris, France
1967
Aillaud, figuration et naturalisme, Vitaliano Corbi, Galleria Il Fante di Spade, Rome (repris lors de l'exposition à la sala Mendoza, Caracas la même année), Italie
1966
Gilles Aillaud, Max Clarac Serou, Galerie du Dragon, Paris, France
1965
Une passion dans le désert, Daniel Anselme, Galerie Saint-Germain, Paris, France
1963
Gilles Aillaud, Colette Audry, René de Solier, Galerie Claude Levin, Paris, France
Pierre Buraglio et Rachel Stella / Septet - Expos dans le Grand Paris - Télérama Sortir Grand Paris
Télérama - Laurent Boudier
09 fèvrier 2021
Voir le fichierPierre Buraglio, un Septet à la galerie Ceysson
Les Lettres Françaises - Philippe Reliquet
27 janvier 2021
Voir le fichierPierre Buraglio et Rachel Stella - Septet
Télérama' Sortir - Laurent Bouclier et Bénédicte Philippe
13 janvier 2021
Voir le fichier