Roger Bissière

Né en 1886, à Villeréal, France.
Mort en 1964, à Boissiérette, France.



Formation

1905-1909    École des Beaux-Arts de Bordeaux, France.

1910
    École des Beaux-Arts de Paris, sous la direction de Gabriel Ferrier, Paris, France.


Présentation

Bissière fait des études d’art à Bordeaux puis à Paris en 1909, où il se lie d’amitié avec Georges Braque et André Lhote. Il présente ses œuvres lors des premières expositions de l’avant-garde parisienne, notamment au Salon d’Automne. Après la guerre, Bissière devient un membre clé de la nouvelle École de Paris et développe une expression cubiste dans laquelle la figure humaine n’est jamais absente, bien qu’il s’oriente vers l’abstraction. Cette orientation résulte à la fois de l’influence du néo-classicisme de Picasso et de ses propres recherches sur la survie du cubisme. Bien que volontairement éloigné des circuits officiels et retiré dans le Lot, Bissière n’est jamais absent de la scène artistique. Il n’est pas seulement artiste, mais aussi un des plus importants critiques d’art de son temps. Il écrit pour L’Opinion et il contribue à la première monographie sur Braque. Bissière est lié d’une amitié indéfectible avec Jean-François Jaeger, et les deux amis échangent sans cesse sur l’art. L’exposition « Quelques images sans titre » de Bissière en 1951 marque une étape fondamentale tant dans l’histoire de la galerie que dans la carrière du peintre. Un public enthousiaste découvre cette peinture composée de taches colorées, situant un espace de sonorités, dans les tons mats de la tempera à l’œuf si souvent pratiquée au Moyen-Age. Revenu à la peinture à l’huile en 1956, il bénéficiera d’une douzaine d’expositions monographiques à la galerie. L’œuvre de Bissière a fait l’objet d’une intense promotion en France et à l’étranger. Jean-François Jaeger placera dans les plus grandes institutions européennes plus d’une soixantaine de chefs d’œuvres. La dernière présentation du vivant du peintre, en 1964 – quelques jours avant la Biennale de Venise au cours de laquelle il recevra une mention d’honneur – sera « Journal en images », série d’une cinquantaine de petits panneaux d’aggloméré réalisés à la suite du décès de son épouse Mousse. Exposé dans de nombreuses expositions, son œuvre a aujourd’hui intégré des collections muséales internationales.


« Ma première révélation du cubisme date de ma rencontre avec Braque, en 1919-1920, et de l’amitié qui s’en est suivie. A ce moment-là de ma jeunesse, j’ai entrevu des possibilités nouvelles et une vision tout à fait neuve. Cette découverte m’a amené à abandonner une vision immédiate et réaliste du monde pour une transposition de la nature transformée en un simple fait pictural. J’y ai trouvé la satisfaction d’un besoin de construction rigoureuse et d’organisation du tableau.
[…]
C’est ce besoin de logique et de construction que j’ai conservé du cubisme que, par ailleurs, j’ai abandonné peu à peu car il m’en apparu qu’il ne satisfaisait plus le désir de plus grande spiritualité et de poésie qui me tourmentait. De là, une évolution vers une peinture ou la représentation est absente et ne demeure que comme une allusion. Le cubisme signifiait une face du monde sensible. J’ai choisi l’autre face, plus mystérieuse et peut-être plus essentielle.
[…]
L’impressionniste donne sa sensation.
Le cubiste donne son opinion.
Il suffit d’avoir compris pour pouvoir recréer.
J’ai cru longtemps que dessiner, c’était reproduire une image que j’avais en moi du contour des objets. Je crois maintenant que dessiner, c’est au contraire suggérer le contour des objets par leur modelé intérieur.
[…]
Quand je commence une toile, je n’ai qu’une sensation de couleur, une émotion et c’est tout. Une fois que cette première couleur est mise, elle en appelle une autre, une autre encore et toutes ces couleurs qui viennent s’ajouter finissent par suggérer des formes. Je n’ai qu’a les suivre. Je veille seulement à combler les trous, à donner une grande densité à l’ensemble… Tout l’amour qu’on met dans un tableau, cela se sent.
[…]
Une figure géométrique satisfait pleinement l’intelligence car elle porte en soi une part d’absolu.
Une figure géométrique est la seule chose qui nous puisse donner une image sensible de l’idée de perfection. Il faut considérer la nature comme un répertoire de formes, un dictionnaire, et se servir des éléments qu’elle nous fournit pour construire une architecture selon nous-mêmes.
La peinture est, si l’on veut bien la considérer en son essence, une géométrie vivante de formes et de couleurs, une sorte de géométrie nouvelle et plus complexe où les couleurs et les formes seraient inséparables et réagiraient les unes sur les autres, selon des lois où l’élément forme et l’élément couleur ne formeraient qu’un tout.
[…]
Je ne demande à mes tableaux qu’une chose, que chacun garde ce que j’étais quand je l’ai peint. Pendant dix ans, je n’ai eu pour confident que moi-même. Toutes ces couleurs, toutes ces lumières qui se débattaient sous mes paupières m’eussent aveuglé, si je n’avais pas peint.
Je n’ai jamais pu voir une porte sans l’ouvrir.


Roger Bissière dans Baptiste-Marreyn, Bissière T’en fais pas Marie, écrits sur la peinture 1945-1964, Le temps qu’il fait, Cognac, 1994 (« Ma première révélation du cubisme », propos rapporté par Pierre Cabanne dans L’Epopée du Cubisme).
D’abord, il ne semble y avoir que lumière et couleur. Notre œil se trouve en face d’une lumière intense, bien que le tableau ne soit pas très lumineux. Tout comme dans la nature, lorsque nous retrouvons nos esprits après avoir été brièvement aveuglés par un rayon de soleil, nous ressentons que nos yeux commencent à s’adapter aux couleurs qui émergent d’un champ ou d’un sous-bois. De la même manière, le tableau abstrait de Roger Bissière nous apparaît dans toute sa finesse dès que notre regard se met à la parcourir dans la durée.

Les teintes colorées s’y comptent par centaines. Elles jouent sur la totalité de la surface avec une lumière qui semble venir du fond (comme aujourd’hui sur les écrans de télévision ou d’ordinateurs) d’une manière si fine et si variée que les quatre éléments qui forment ces tableaux - lumière, forme, géométrie non-linéaire - se trouvent agencés à chaque point de la surface d’une manière si surprenante et inventive que l’œil n’a jamais le temps de s’y reposer. Pourtant, il ne s’agit pas d’une peinture nerveuse. Ces tableaux nous transmettent un temps particulièrement « long », une durée au long cours, au sens donné à ce concept par Fernand Braudel ou par Henri Bergson .D’un côté, les tableaux constituent un all-over, une peinture rythmique dans laquelle les lignes débordent des formes et par laquelle le rapport entre la lumière arrivant du fond, d’une part, et les couleurs d’autre part, entre les lignes et l’espace, change d’un centimètre à l’autre.


Est-ce une erreur de décrire ainsi un tableau abstrait de Roger Bissière comme Floréal, datant d’environ 1962, avec un vocabulaire qui aurait également pu servir à décrire un tableau de Jackson Pollock ou de Mark Rothko, contemporains de Bissière ? Autrement dit, avons-nous le droit de regarder un tableau abstrait de Roger Bissière à l’aune de l’expressionnisme abstrait (américain), plutôt que de l’interpréter dans le cadre de l’abstraction lyrique, autrement dit de la peinture abstraite mise en œuvre par ses anciens élèves à partir des années 1940 ? Le jeu en vaut la peine. Les tableaux abstraits de Roger Bissière, si longtemps plus ou moins écartés des accrochages des collections permanentes dans les grands musées ainsi que des expositions internationales, même historiques, transmettent aujourd’hui une fraîcheur qui permet de les apercevoir dans leur force formelle propre, dans ce jeu extrêmement libre et maîtrisé à la fois des couleurs, rythmes et couleurs devenus autonomes qui les rendent paradoxalement proches de certains tableaux de l’expressionnisme abstrait. Certes, il ne faut jamais aller trop loin dans une telle comparaison. Tel n’est pas notre but. L’idée du rythme, de la lumière et des couleurs autonomes, de la nouvelle puissance de ces moyens d’expression traditionnels, s’impose si on essaye de porter un regard innocent sur les tableaux abstraits de Roger Bissière. Imaginons un spectateur qui découvre la peinture abstraite des années 1944-1964, non pas à travers Pollock ou Rothko, mais devant un grand tableau de Bissière des années cinquante ou soixante, dans le nouvel accrochage d’un quelconque musée. Non seulement le choc visuel serait considérable, comme lorsqu’on se trouve pour la première fois devant un chef-d’œuvre de l’expressionnisme abstrait ; mais ce spectateur percevrait également les mêmes constituants essentiels que chez les illustres collègues américains de Bissière, à savoir une danse ininterrompue des couleurs et de la lumière à travers un rythme particulièrement variable qui libère les taches et les lignes de toute subordination à la description d’une forme ou d’un espace stable et préexistant.

Essayons encore un instant de suivre un tableau abstrait de Roger Bissière avec les yeux d’un jeune artiste qui découvrirait aujourd’hui, donc après coup, la peinture du XXe siècle sans trop se soucier de l’histoire de ses mouvements et des styles. Silence de l’aube de 1964 est constitué à la fois de coulures par lesquelles la peinture devient autonome et indépendante de la main du peintre, et de lignes libres et enchevêtrées qui forment un all-over dans la partie centrale de la toile. La vision du peintre y est aussi singulière que sa technique. Les « fraternités électives » d’une telle peinture sont l’expressionnisme abstrait d’une part (pensons à Tobey, par exemple), et une peinture-pensée, une peinture philosophique dans le sens le plus noble d’autre part (partagée entre autres par Simon Hantaï, beaucoup plus jeune à l’époque, mais contemporain de Bissière à ce moment-là). Les coulures et les lignes, apparemment chaotiques, libèrent à la fois la lumière - qui vient du fond - et les couleurs de toute fonctionnalité, ne serait-ce celle de la composition. La couleur sublime qui caractérise les tableaux abstraits de Bissière peut ainsi agir en toute autonomie sur l’œil du spectateur, tandis que le concert des petites explosions colorées, très équilibrées entre elles, produit un rythme apparemment perpétuel. En dernier lieu, le tableau exprime ainsi clairement une seule chose qui constitue un des grands sujets de Roger Bissière, à savoir le temps. La lumière et les couleurs autonomes rendent visible une idée du temps qui conjugue la durée des cycles naturels (d’où le calme impressionnant de ces tableaux pourtant obtenus à l’arraché dans les longs processus picturaux de Bissière) et la rapidité de l’esprit qui arrive à penser ce temps par l’activité picturale. Une des forces de Roger Bissière réside dans le fait qu’il sut transformer une peinture faite de traces, de signes et de taches colorées en une réflexion profonde sur le temps qui rend visible la durée.


Robert Fleck, Bissière, Ed. IAC, 2010, p. 7-8
Expositions monographiques à la galerie
Roger Bissière, Paris
03 septembre - 08 octobre 2022


Expositions de groupe à la galerie
Septet , Paris
16 décembre 2020 - 13 février 2021


Expositions personnelles


2022

Le songe de la terre, Galerie Ceysson & Bénétière, Paris, France

O lado do outro, Fondation Arpad Szenes Vieira Da Silva, Lisbonne, Portugal


2019

Compagnons de Route, Galerie Jeanne Bucher Jaeger, Espace St Germain, Paris, France


2016

Entre deux horizons, Centre Pompidou - Metz, France


2014

Bissière (1886-1964), Figure à part, Musée de Lodève ; Musée des Beaux Arts de Bordeaux, France


2004

Bissière, Pense à la peinture, Musée Unterlinden, Colmar, France


2002

Centre d’Art Nicolas de Staël, Braine-l’Alleud, Belgique


2001

Galerie Jeanne-Bucher, Paris, France


2000

Musée de Grenoble, France


1999

Bissière, le rêve d’un sauvage qui aurait tout appris, Musée Picasso, Antibes, France


1997

Bissière 1947, Musée de l’Abbaye Sainte-Croix, Les Sables d’Olonne, France


1996

Roger Bissière 1886-1964 : De la forme à la couleur, Musée du Périgord, Périgueux, France


1995

Roger Bissière, oeuvres sur papier, Galerie Kutter, Luxembourg, Luxembourg


1990

Bissière, paysages du Lot, Maison des Arts Georges Pompidou, Cajarc, France


1987

Musée des Beaux Arts et de la Dentelle, Calais, France

Peintures et dessins de Roger Bissière, « Locus Solus » de Fred Deux,

Galerie Jeanne-Bucher, Paris, France


1986

Exposition Itinérante en France : Bissière 1886-1964 Musée d’Art Moderne de la Ville, Paris

Musée des Beaux Arts, Dijon ; Musée des Beaux Arts, Calais


1984

Atelier sur l’Herbe, Ecole des Beaux Arts, Nantes, France

Maison du Lot et Garonne, Paris, France


1979

Roger Bissière 1888-1964 : Des gravures et leurs métamorphoses, Galerie Kutter, Luxembourg, Luxembourg


1978

Galerie Dominique Paramythioti, Paris, France


1977

Bissière / Peintures 1945-1964, Musée de l’Abbaye Sainte-Croix, Les Sables d’Olonne, France 


1976

Donjon Lacatye, Mont-de-Marsan, France


1974

Rencontres d’art 74. Hommage à Bissière, Musée Ingres, Montauban, France


1973

Bissière, le chemin et la manière 1920-1964, Galerie Jeanne-Bucher, Paris, France

Bissière, La Nouvelle Gravure, Paris, France


1970

Bissière, Peintures et Estampes, Galerie Alice Pauli, Lausanne, Suisse

Bissière Graphik, Galerie Linnaeus, Nybrogatan, Suède

Bissière. Rétrospective, Musée d’Unterlinden, Colmar, France

Exposition itinérante au Luxembourg : Musée d’Histoire et d’Art, Luxembourg ;

Städtisches Museum, Luxembourg


1969

Musée Fabre, Montpellier, France


1968

Galerie Mimesis, Bordeaux, France


1966

Stedelijk Museum, Amsterdam, Pays-Bas

Kunstverein für die Rheinlande und Westfalen Düsseldorf, Allemagne

Musée des Arts Décoratifs, Paris, France


1965

Galerie des Beaux Arts, Bordeaux, France


1964

Bissière, Journal 1962-1964, Galerie Jeanne-Bucher, Paris, France

Bissière, Journal en images 1962-1964, Galerie Alice Pauli, Lausanne, Suisse


1963

Galerie Schmücking, Braunschweig, Allemagne


1962

Galerie Marya, Copenhague, Danemark

Galerie Jeanne-Bucher, Paris, France

Kunstmuseum, Lucerne, Suisse


1961

Roger Bissière Paintings from 1919-1959, World House Galleries,

New York, Etats-Unis


1959

Bissière, artisan de la cathédrale, Musée de la Ville, Metz, France

Musée National d’Art Moderne, Paris, France


1958

Galerie Jeanne-Bucher, Paris, France

Rétrospective, Stetejlik Museum, Amsterdam, Pays-Bas


1957

Exposition itinérante en Allemagne et au Pays-Bas : Kestner-Gesellschaft, Hanovre ;

St. Annen-Museum, Lübeck ;Städtische Kunsthalle, Recklinghausen, Allemagne

Stedelijk van Abbe-Museum, Eindhoven ; Stedelijk Museum, Amsterdam, Pays-Bas


1956

Bissière, Peintures, Galerie Jeanne-Bucher, Paris, France


1954

Onze bois gravés de Bissière pour le Cantique au soleil de François d’Assise, Galerie Jeanne-Bucher,

Paris, France


1952

Galerie Jeanne-Bucher, Paris, France


1951

Quelques images sans titre, Galerie Jeanne-Bucher, Paris, France


1947

Galerie René Drouin, Paris, France


1934

Paintings by Bissière, The Leicester Galleries, Londres, Royaume-Uni


1931

The Leicester Galleries, Londres, Royaume-Uni


1928

Galerie Druet, Paris, France


1926

Galerie Druet, Paris, France


1925

Galerie Druet, Paris, France


1924

Galerie Druet, Paris, France


1921

Galerie Paul Rosenberg, Paris, France


1920

Galerie Berthe Weill, Paris, France



Expositions collectives


2017

Artes e Letras : as ediçoes da Galeria Jeanne Bucher Jaeger, Árpád Szenes -

Vieira da Silva Foundation, Lisbonne, Portugal

Corps et Ame, Galerie Jeanne Bucher Jaeger, Espace Marais, Paris, France

Passion de l’Art - Galerie Jeanne Bucher Jaeger, depuis 1925, Musée Granet,

Aix-en-Provence, France


2016

Dialogue IX, Galerie Jeanne Bucher Jaeger, Espace Marais, Paris, France

Question de peinture, Galerie Jeanne Bucher Jaeger, Paris, France


2015

Galerie Jeanne Bucher Jaeger, Paris, France

Quinte-Essence, Galerie Jeanne Bucher Jaeger, Paris, France


2014

Une passion de l’Art, Musée de Gajac, Villeneuve-sur-Lot, France

Dialogue VI, Galerie Jeanne Bucher / Jaeger Bucher, Paris, France


2013

Matière et Mémoire, Galerie Jeanne-Bucher / Galerie Jaeger Bucher, Paris, France


2008

Expansion-Résonance, Galerie Jaeger Bucher, Paris, France


2007

Galerie Jeanne-Bucher, Paris, France

Le Corps et son double, Galerie Jeanne-Bucher, Paris, France


2006

Galerie Jeanne-Bucher, Paris, France


2005

Galerie Jeanne-Bucher, Paris, France


2000

Dialogue avec des compagnons de route, Galerie Jeanne-Bucher, Paris, France


1999

Hommage à Dora Vallier, Galerie Louis Carré & Cie, Paris, France

Rencontres d’art 1999, Petites Mémoires pour demain, Musée Ingres, Montauban, France


1998

Il furuto alle spalle, Palazzo delle Esposizioni, Rome, Italie

Hommage à la France, Galleri Haaken, Oslo, Norvège

Victoire-Elisabeth Calcagni et ses amis, Galerie Anne-Marie Marquette, Le Troisième Œil,

Bordeaux, France

Kunst im Aufbruch-Abstraktion zwischen 1945 und 1959, Am Rhein,

Ludwigshafen, Allemagne

L’Ecole de Paris ? 1945-1964, Musée National d’Histoire et d’Art,

Luxembourg, Luxembourg


1997 

Made in France, 1947-1997 cinquante ans de création en France, Musée National d’Art Moderne,

Centre Georges Pompidou, Paris, France

Natures mortes du XXème siècle, Musée Tavet-Delacour, Pontoise, France

L’Exposition internationale de 1937, autour de Robert et Sonia Delaunay, Aublet, Bissière,

Manessier, Le Moal, Survage, Musée Baron Martin, Gray, France

Vers l’été, vert d’été, Michel Cachoux, Paris, France

L’Arrière-Pays, Château des Adhémar, Montélimar, France

Abstraction, France 1940-1965, peintures et dessins des collections du Musée National d’Art Moderne,

Musée d’Unterlinden, Colmar, France

Pour un jubilé 1947-1997, Galerie Jeanne-Bucher, Paris, France


1996

European Artists of the 1950’s, Denise Cadé Gallery, New York, Etats-Unis

Bertholle, Bissière, Reichel, Seiler, Steffens, Galerie Lambert-Rouland, Paris, France


1946

L’Art de la Reconstruction, Musée Picasso, Antibes, France

Yves Bonnefoy. La Poésie et les arts plastiques, Musée Jenisch, Vevey, Suisse

64 oeuvres d’Art moderne, Musée National d’Art Moderne - Centre Georges Pompidou,

Paris, France


1995

1945, Les Figures de la liberté, Musée Rath, Genève, Suisse

Passions privées, Musée d’Art Moderne de la Ville, Paris, France


1994

View of the 20th Century Master, The Miyagi Museum of Art, Ostuka Kogei, Japon

D’Ingres à Matisse, Yomiruri Shimbun, Japon

Galerie Jeanne-Bucher, Paris, France

Nesto Jacometti editore, Pinacoteca Comunale, Lucerne, Suisse

The Avant-Garde of France, The 1940’s and 1950’s, Nassau Conty Museum of Art,

New York, Etats-Unis

Style des années 40, Musée des Beaux Arts, Saint-Lô, France

Vieira da Silva, dation à l’Etat, collection du Musée National d’Art Moderne -

Centre Georges Pompidou, Musée Fabre, Montpellier, France

Homenaje a Denise Colomb. Treinta Artistas del siglo XX, Centro de Exposiciones y Congresos,

Museo Camón Aznar, Saragosse, Espagne

Musée d’Art et d’Industrie, Roubaix, France

Vieira da Silva, Musée des Beaux Arts, Rouen, France


1993

Exposition itinérante au Japon : Paris, la joie de vivre Yamanashi ; Navio ; Miyazaki ;

Hamatsu ; Okayama Henri Dutilleux et les peintres,

Musée des Beaux Arts, Caen, France

L’Artiste regardé, Un point, deux vues, Musée Ingres, Montauban, France

L’Abstraction à partir des années 50, Assemblée Nationale, Paris, France

Zoom arrière, Galerie Callu Mérite, Paris, France

Galerie Jeanne-Bucher, Paris, France

Entre la sérénité et l’inquiétude, Musée d’Art Moderne, Saint-Etienne, France


1992

Chemins d’un éditeur, Espace Saint-Jean, Melun, France

L’Arrière-Pays, Galerie Jeanne-Bucher, Paris, France

Hommage aan M.L de Boer, Kunsthandel M.L de Boer, Amsterdam, Pays-Bas

De Collectie De Graaff-Bachiene, Hannema-de Stuers Fundatie, Heino-Wijhe ;

Museum voor Schone Kunsten, Gand, Pays-Bas

L’Arrière-Pays, Peintures de Bissière, Tobey, Szenes, Jean Dubuffet, Vieira da Silva, Nicolas de Staël,

Nallard, Soulages, Debré, Zao Wou-Ki, Aguayo, Gasiorowki, sculpture de Jean Amado, Galerie de la Cité, Carcassonne, France

Exposition itinérante en France : Dialogues avec Lurçat Argentan ; Avranches ; Bayeux ; Musée Thomas Henry,

Cherbourg ; Coutances ; Granville ; Saint-Lô

Naissance d’une collection d’Art moderne : 50 oeuvres du Musée des Augustins de Toulouse, Château-Prieural,

Monsempron-Libos, France

Leonardo Sinsgalli : entre Poésie et Science, Seminaire Pontificale Regionale, Potenza, Italie

Réflexion pour un musée dans les collections toulousaines, Galerie Pierre-Jean Meurisse, Toulouse, France


1991

Exposition Itinérante au Japon : Premiers chefs-d’oeuvre des grands maîtres européens Tokyo ; Kyoto ; Ikaraki ; Osaka

Exposition Itinérante au Japon : Tarkhoff et son temps Hiratsuka ; Osaka ; Kyoto ; Mito

Paris-Oslo, French and Norvegian Art 1945-1965, Henie-Onstad Kunstsenter, Oslo, Norvège

Galerie Jeanne-Bucher, Paris, France

Exposition des peintures de l’Amitié française, Musée Commémoratif d’Otani, Nishinomiya, Japon

Galerie Jeanne-Bucher, Paris, France


1990

Trésors du Petit-Palais de Genève, Palais de la Bourse, Forum des Arts, Marseille, France

European Modernists : 1910-1940, Montgomery Gallery, San Francisco, Etats-Unis

Quatre paysagistes abstraits aquitains : Bissière, Calcagni, Gardair, Lagoutte, Galerie Le Troisième Œil, Bordeaux, France

Exposition Itinérante en France : Marie Moulinier Maison des Arts, Evreux ; Centre Régional d’Art Textile, Angers ;

Musée Départemental de la Tapisserie et Chapelle du Château Fellerin, Aubusson ; Espace Jacques Prévert, Aulnay-Sous-Bois ;

Musée-Château Grimaldi, Cagnes-Sur-Mer Idées pour une collection, Galerie Prazan-Fitoussi, Paris, France

La France à Venise, Peggy Guggenheim Foundation, Venise, Italie

Un amateur luxembourgeois de l’Ecole de Paris Joseph Pauly-Groff, Musée National d’Histoire et d’Art, Luxembourg, Luxembourg

Peintures abstraites, Le Troisième Œil, Bordeaux, France

Toulouse et l’Art moderne, Musée Paul Dupuy, Toulouse, France

Isabelle Bissière et Bernard Ceysson, Bissière, figure à part [cat. exp., Musée de Lodève et Musée des Beaux Arts de Bordeaux], Ed. Fage, 2014

Robert Fleck, Bissière, Ed. IAC, 2010

Gravures et lithographes, Ed. Musée des Beaux-Arts d'Agen, 2008

Sylvie Ramond et alii, Bissière, pense à la peinture [cat. exp., Musée Unterlinden, Colmar], Ed. Fages, 2004

Daniel Abadie, Bissière, Ed. Ides et Calendes, 2002

Isabelle Bissière et Virginie DUVAL, C. R. 1886-1964, 3 Vol., Ed. Ides & Calende, Neuchâtel, 2001

Serge LEMOINE, Walter LEWINO et Jean-François JAEGER, Bissière, Ed. Ides & Calende, Neuchâtel, 2000

Bissière, le rêve d'un sauvage... [cat. exp., Musée Picasso, Antibes], Ed. RMN, 1999

Daniel Abadie, Bissière, Ed. Ides & Calende, Neuchâtel, 1986

François MATHEY, Bissière, journal en images, Ed. Hermann, 1964

Dora VALLIER, Bissière, Ed. Galerie Jeanne Bucher, 1962

Max-Pol FOUCHET, Bissière, Ed. G. Fall, Paris, 1955

Pierre Buraglio et Rachel Stella / Septet - Expos dans le Grand Paris - Télérama Sortir Grand Paris
Télérama - Laurent Boudier
09 fèvrier 2021
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Pierre Buraglio, un Septet à la galerie Ceysson
Les Lettres Françaises - Philippe Reliquet
27 janvier 2021
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Pierre Buraglio et Rachel Stella - Septet
Télérama' Sortir - Laurent Bouclier et Bénédicte Philippe
13 janvier 2021
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Luxembourg Art Week
12 novembre 2021
Roger Bissière
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07 octobre 2022